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Andrew Scheer Offers Canadians Hope on the World Stage

[:en]Last week Conservative leader Andrew Scheer visited the UK. You probably didn’t hear much about it. He didn’t dress up in any costumes. He didn’t insult his hosts and he didn’t invite any convicted murderers and terrorists to any of his events.
Hard as it is to believe in the Trudeau era, this Canadian leader’s foreign trip wasn’t about saris, socks or even selfies; it was about trade.

Andrew Scheer went to Britain to build relationships with British leaders and to begin laying the groundwork for a post-Brexit Canada-UK free trade deal. This is a very smart move considering Prime Minister Justin Trudeau has alienated us on trade at every turn. The only major trade deals he has been able to sign were the Trans Pacific Partnership and the European Comprehensive Economic Trade Agreement—both of which were negotiated by our previous Conservative Government. But then what can one expect from a Canadian Prime Minister who can’t even get goods like grain and oil flowing between his own Provinces?

Justin Trudeau and his team have failed to re-negotiate NAFTA. They failed to secure any meaningful trade deals with the world’s two largest economies, China and India. Justin Trudeau also set back any potential deals with these two trade giants with his smug and insulting behavior—but then what do you expect from a guy who to tries to lecture the Pope.

While Mr. Trudeau remains focused on his pipe dream of a free trade deal with his friends in Communist China, Andrew Scheer is focused on achievable results. Great Britain is our friend and our largest European trading partner. Securing a bilateral free-trade deal with Great Britain should and will be a priority for the next Conservative Government. As Mr. Scheer stated last month:

“I believe the first place we should look is to our cousins across the pond, who themselves are in a moment of generational change and newfound independence.”

Andrew Scheer is an example of how a Canadian leader ought to conduct business on the world stage. Andrew Scheer and his team did their homework before they left so there would be no surprises. He went in with a specific goal. He had constructive meetings with several key members of the British cabinet including Foreign Minister Boris Johnson, Trade Minister Liam Fox and Prime Minister Theresa May.

Moreover, he restrained himself from telling his British counterparts how to run their country and from insisting they must adopt his personal values into any potential trade deal.

No surprises, no snubs, no international incidents, and as a result, no need for any excuses upon his return.

Friends there is hope for Canada on the world stage once again. The world has stopped taking Justin Trudeau seriously, but they’re starting to take notice of Andrew Scheer.

And he did it all without changing costumes.
[:fr]La semaine dernière, le chef conservateur Andrew Scheer s’est rendu au Royaume-Uni. Vous n’avez probablement pas beaucoup entendu parler de cette visite. Il ne s’est pas costumé. Il n’a pas insulté ses hôtes. Il n’a invité aucun meurtrier ni terroriste reconnu à ses activités.
Aussi incroyable que cela puisse paraître sous l’ère Trudeau, le voyage à l’étranger de ce dirigeant canadien n’avait rien à voir avec les saris, les chaussettes, ni même les égoportraits; il portait sur le commerce.

Andrew Scheer s’est rendu en Grande-Bretagne pour établir des liens avec les dirigeants britanniques et jeter les bases d’un accord de libre-échange post-Brexit entre le Canada et le Royaume-Uni. C’est une initiative très brillante, étant donné que le premier ministre Justin Trudeau ne cesse de nuire à nos échanges commerciaux. Les seuls grands accords commerciaux qu’il a pu conclure, ce sont le Partenariat transpacifique et l’Accord économique et commercial global avec l’Union européenne, et les deux ont été négociés par le gouvernement conservateur précédent. Mais à quoi faut-il s’attendre de la part d’un premier ministre canadien qui est incapable de faire en sorte que des produits comme les grains et le pétrole circulent entre ses propres provinces?

Justin Trudeau et son équipe n’ont pas su renégocier l’ALENA. Ils n’ont pas su conclure d’ententes commerciales importantes avec les deux plus grandes économies du monde, la Chine et l’Inde. Justin Trudeau a également éloigné toute entente potentielle avec ces deux géants commerciaux par son comportement suffisant et insultant. Mais à quoi faut-il s’attendre de la part d’un homme qui tente de sermonner le pape?

Pendant que M. Trudeau se concentre sur son projet chimérique d’un accord de libre-échange avec ses amis de la Chine communiste, Andrew Scheer mise sur des résultats réalistes. La Grande-Bretagne est un pays ami et notre principal partenaire commercial européen. La conclusion d’un accord bilatéral de libre-échange avec la Grande-Bretagne devrait être et sera une priorité pour le prochain gouvernement conservateur. Comme l’a dit M. Scheer le mois dernier :

« J’estime que c’est vers nos cousins de l’autre côté de l’Atlantique que nous devrions nous tourner en premier; ils sont eux-mêmes dans une période de changement générationnel et de nouvelle indépendance. »

Andrew Scheer est l’exemple même de la façon dont un dirigeant canadien devrait mener des affaires à l’étranger. Andrew Scheer et son équipe se sont bien préparés avant de partir, afin qu’il n’y ait aucune surprise. Il s’est rendu là-bas avec un but précis en tête. Il a eu des rencontres constructives avec plusieurs membres importants du Cabinet britannique, dont le ministre des Affaires étrangères Boris Johnson, le ministre du Commerce Liam Fox et la première ministre Theresa May.

De plus, il s’est abstenu de dire à ses homologues britanniques comment diriger leur pays et d’insister pour qu’ils adhèrent à ses valeurs personnelles dans tout accord commercial potentiel.

Aucune surprise, aucune rebuffade, aucun incident international, et par conséquent, nul besoin de présenter des excuses à son retour.

Chers amis, il y a encore de l’espoir pour le Canada sur la scène mondiale. Justin Trudeau n’est plus pris au sérieux dans le monde, mais Andrew Scheer, lui, commence à susciter l’attention.

Et il le fait sans même changer de costume.

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