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Reducing Poverty in Canada

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From October 2016 to May 2017, the House of Commons’ Human Resources Committee studied strategies to reduce poverty in Canada. Unfortunately, while their final report contains some valuable information (and some good recommendations) when it comes to the conditions of Canadians in poverty, current government actions are doing more to harm than to help.

One of the basic tenets of conservatism is that problems of government’s making are not solved through more government action.

Witness testimony before the committee found a growing list of government actions that impoverish people and widen the gap between rich and poor. They include:

– Regressive consumption taxes which disproportionately burden low-income people to fund complex “green” programs for the rich (i.e. Justin Trudeau’s carbon tax);

– Inflated electricity costs to subsidize the profits of well-connected, (so-called) “green energy” investors, crown corporations and bloated public utilities;

– Bureaucratic “red tape” that blocks or delays affordable housing construction;

– Tax rates that punish poor and disabled people for working;

– Rules forbidding aboriginals from owning homes;

– Rules forbidding those on social assistance from going back to school;

– Bailouts and corporate welfare.

These are the result of government action, not inaction.

If governments would stop holding them down, many of Canada’s poorest people could achieve their dreams of self-reliance and prosperity. It is time the government stood by their side, rather than in their way.

Our previous Conservative Government worked hard to provide the necessary policies to help Canadian families thrive. Policies like raising the personal exemption limit, lowering the tax burden, reducing harmful consumption taxes, and reducing the overall cost of the federal government (to 14.2% of GDP, the lowest in half a century) had a direct and profound impact on reducing the poverty rate to its lowest levels in recorded history. These are the facts:

– The basic needs poverty line declined to a record-low 4.2%, declining by a third.

– The low income cut-off fell to a record-low 8.8%. In fact, it dropped more under our previous Conservative Government than under any other Prime Minister in recorded history.

– Middle class incomes rose 11%.

– On average, federal income tax on families earning less than $30,000 dropped by more than 90%.

Real progress on poverty reduction is possible when governments adopt common sense policies that are people/family centered and business friendly–not ones that just benefit and further grow governments themselves.

Above all, Conservatives recognize that the best way out of poverty is a job and believe that work should always pay more than not working. Throwing money with no strings or metrics attached is not a solution. It breeds dependency, exacerbates and prolongs the cycle of poverty and robs people of their independence and dignity. Like the old adage says: “Give a man a fish and you’ve fed him for a day. Teach a man to fish and he can feed himself for life.”

Our party’s dissenting report outlines 14 specific common sense recommendations to help fight poverty. If the Trudeau Government really wants to reduce poverty, it must recognize what actions governments can take to make a real, positive difference in lowering the poverty rate and helping those Canadians in need and when to get out of the way.

[:fr]D’octobre 2016 à mai 2017, le Comité des ressources humaines de la Chambre des communes a étudié des stratégies de réduction de la pauvreté au Canada. Malheureusement, même si son rapport final contient des renseignements très utiles (et de nombreuses recommandations judicieuses) quant aux conditions des Canadiens vivant dans la pauvreté, les mesures actuelles du gouvernement font plus de mal que de bien.

L’un des principes généraux du conservatisme, c’est que la prise d’autres mesures gouvernementales n’est pas la solution aux problèmes créés par le gouvernement.
Les témoins ayant comparu devant le Comité ont dressé une liste grandissante des mesures gouvernementales qui ont pour effet d’appauvrir les gens et d’élargir l’écart entre les riches et les pauvres, notamment:

• les taxes à la consommation régressives qui, dans le but de financer des programmes « écologiques » complexes pour les riches (c.-à-d. la taxe sur le carbone de Justin Trudeau), alourdissent de manière disproportionnée le fardeau des personnes à faible revenu;
• les coûts gonflés de l’électricité, qui servent à subventionner les profits d’investisseurs, de sociétés d’État et de services publics gonflés « bien branchés » qui investissent dans la production d’énergie (soi disant) propre;
• les « lourdeurs administratives » qui empêchent ou retardent la construction de logements abordables;
• les taux d’imposition qui punissent les travailleurs pauvres et handicapés;
• les règles interdisant aux Autochtones d’être propriétaires de leur maison;
• les règles interdisant aux bénéficiaires de l’aide sociale de retourner à l’école;
• l’aide financière et les subventions aux entreprises parasites.

Voilà le résultat de l’action du gouvernement et non pas de son inaction.

Si les gouvernements cessaient de leur faire obstacle, nombreuses seraient les personnes les plus pauvres au Canada qui réaliseraient leur rêve d’autosuffisance et de prospérité. Il est temps pour le gouvernement d’appuyer ces personnes plutôt que de leur nuire.

L’ancien gouvernement conservateur n’a ménagé aucun effort pour mettre en place les politiques nécessaires pour aider les familles canadiennes à prospérer. Les politiques comme celles relevant le seuil d’exemption personnelle, réduisant le fardeau fiscal et les taxes à la consommation punitives et réduisant les dépenses globales du gouvernement fédéral (à 14,2 % du PIB, le plus bas niveau en un demi-siècle) ont contribué de manière directe et importante à ramener le taux de pauvreté à son niveau le plus bas jamais enregistré. Voici les faits:

• Le pourcentage de ménages vivant sous le seuil de la pauvreté fondé sur la mesure des besoins essentiels a diminué du tiers pour atteindre son point le plus bas, soit 4,2 %.
• Le pourcentage de ménages visant sous le seuil de faible revenu a aussi atteint son niveau plancher, soit 8,8 %. En fait, en 40 ans d’histoire, il n’a jamais été aussi bas que sous le régime précédent.
• Le revenu de la classe moyenne a augmenté de 11 %.
• En moyenne, l’impôt fédéral des familles ayant un revenu de moins de 30 000 $ a baissé de 90 %.

Il est possible de réaliser de véritables progrès en matière de réduction de la pauvreté lorsque les gouvernements adoptent des politiques sensées qui sont axées sur les personnes/la famille et qui sont favorables aux entreprises, et non pas seulement des politiques qui profitent aux gouvernements et les font grossir davantage.

Avant tout, les conservateurs reconnaissent que l’emploi est le meilleur antidote à la pauvreté et croient que le travail devrait toujours être mieux rémunéré que le chômage. La solution n’est pas de donner de l’argent sans conditions ni paramètres. Cela induit une dépendance, exacerbe et prolonge le cycle de la pauvreté et prive les gens de leur indépendance et de leur dignité. Comme on dit : « qui donne un poisson à un homme le nourrit pour un jour, qui lui apprend à pêcher le nourrit jusqu’à la fin de ses jours ».

Le Parti présente, dans son rapport dissident, 14 recommandations sensées visant à lutter contre la pauvreté. Si le gouvernement Trudeau souhaite vraiment réduire la pauvreté, il doit reconnaître les mesures que les gouvernements peuvent prendre pour contribuer réellement et positivement à réduire le taux de pauvreté et à aider les Canadiens dans le besoin, ainsi que le moment où ils doivent éviter d’intervenir.
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