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Style Over Substance and Terrorists Too

[:en]What’s a sure-fire way to offend your hosts on a State visit? Invite a terrorist to dinner.
There’s been a lot of talk this week about Justin Trudeau’s many wardrobe changes on his trip to India; his full slate of fun tourist stops, his celebrity chef and the complete lack of any substantive government meetings. Once again, Mr. Trudeau appears to be all style and no substance. However, there’s more to this trip than the usual pandering, platitudes and Trudeau’s clumsy verbal gymnastics. There’s a darker side; a purpose that is both self-serving and dangerous. And it’s the reason that the Prime Minister’s reception by Indian officials can be described as chilly at best.
It should come as no surprise that as the Trudeau’s, resplendent in Bollywood garb, alighted from their plane, the Prime Minister of India was not there to greet them. In April of 2017 Justin Trudeau attended a Khalsa Day parade in Toronto where he supported Sikh separatists in their desire for an independent Sikh state (Khalistan) in northern India. The parade featured shrines and posters of Sikh militants and terrorists—including those behind the 1985 Air India bombing— and Justin Trudeau, the Prime Minister of Canada, gave a speech standing in front of their flag. (Needless to say, our allies in India noticed.)
Justin Trudeau is no stranger to when it comes to “showing the love” to terrorists. He has shown his proclivity for the “rights” of terrorists over their victims again and again; from paying and apologizing to convicted terrorist Omar Khadr to spending tens of millions on the reintegration of ISIS fighters. Now on his India trip he has a convicted terrorist as a member of his entourage.
That is no joke and no exaggeration. In 1987 Jaspal Atwal, a Canadian national of Indian heritage, was sentenced to 20 years by a Canadian court for his part in the attempted murder of a visiting Indian state minister. Atwal was one of four men who ambushed and shot Malkiat Singh Sidhu, a then-member of Punjab’s cabinet, who was visiting Canada for a relative’s wedding. In his sentencing, the judge called the crime “an act of terrorism in order to advance a cause.” Atwal was at the time a member of the International Sikh Youth Federation, a banned terrorist group in the US, Canada, the UK, and India. He was also charged with attempted murder in the near fatal beating of former B.C. premier (and Liberal Cabinet member) Ujjal Dosanjh in 1985. Mr. Dosanjh put it well in his conversation with CBC last week when he asked Justin Trudeau: “Do you have no shame?”
Apparently not.
Despite Atwal receiving an invitation to a state dinner in New Delhi, and a reception in Mumbai (where he was photographed with Sophie Gregoire Trudeau), and the fact that he has been seen travelling with the Canadian delegation, the Prime Minister claims that his invitation was a mistake by Liberal MP Randeep Sarai of Surrey Centre B.C.
A mistake? A public relations nightmare to be sure, and a diplomatic blunder of epic proportions, but a mistake, I’m not so sure.
It’s not like Mr. Trudeau and his people didn’t know who this guy was. He has attended Liberal Party functions for years and has been photographed with numerous former Liberal leaders and Cabinet members including Justin Trudeau on more than one occasion.
A more likely explanation is that Mr. Trudeau is cozying up to the vote-rich Sikh community in key ridings in Toronto and Vancouver (like Surrey Centre) that helped the Liberals get elected in 2015. All four of Mr. Trudeau’s Indian-origin ministers are Sikh, and he has publicly boasted how he has more Sikh ministers than Indian Prime Minister Modi—yet another reason for his snub by Indian government officials. These Liberals will need to win again in these Sikh dominate ridings in 2019, thus Atwal’s invitation. As media outlets around the world are asking: How else—short of gross incompetence by everybody else involved in planning, vetting and security for the trip—does a convicted murderer and terrorist get that close to the PM and his family?

This trip is not about improving relations with an ally and a huge potential trading partner. It’s all about politics; optics, pandering, symbolism, vacations and, as usual, all about Trudeau.

[:fr]Quel est le meilleur moyen d’offenser vos hôtes lors d’une visite d’État? Invitez un terroriste à dîner.
On a beaucoup parlé cette semaine des nombreux changements vestimentaires de Justin Trudeau pendant son voyage en Inde, de sa liste exhaustive d’arrêts touristiques amusants, de son célèbre chef cuisinier et de l’absence totale de réunions gouvernementales importantes. Encore une fois, M. Trudeau semble être tout à fait élégant, mais dénué de contenu. Cependant, ce voyage ne se limite pas aux flatteries habituelles, aux platitudes et à la gymnastique verbale maladroite de M. Trudeau. Il y a un côté plus sombre, un but à la fois égoïste et dangereux. Et c’est la raison pour laquelle la réception du premier ministre par les dirigeants indiens peut être qualifiée de glaciale, au mieux.
Il n’est pas surprenant que les Trudeau, resplendissants dans leurs tenues bollywoodiennes et fraîchement sortis de leur avion, n’aient pas été accueillis par le premier ministre de l’Inde. En avril 2017, Justin Trudeau a assisté à un défilé de la Journée Khalsa à Toronto où il a soutenu les séparatistes sikhs dans leur désir d’établir un État sikh indépendant (Khalistan) dans le nord de l’Inde. Le défilé mettait en vedette des sanctuaires et des affiches représentant des militants et des terroristes sikhs, y compris ceux à l’origine de l’attentat à la bombe contre un avion d’Air India en 1985, et le premier ministre du Canada, Justin Trudeau, a prononcé un discours devant leur drapeau. (Il va sans dire que nos alliés en Inde l’ont remarqué.)
Justin Trudeau n’est pas étranger à l’idée de « démontrer de l’amour » aux terroristes. Il a manifesté à maintes reprises sa préférence pour les « droits » des terroristes par rapport à ceux de leurs victimes, qu’il s’agisse de présenter des excuses à Omar Khadr, condamné pour terrorisme, et de le dédommager, ou de dépenser des dizaines de millions pour la réinsertion des combattants de l’EI. Puis, pendant son voyage en Inde, nous avons vu qu’un homme condamné pour terrorisme faisait partie de son entourage.
Ce n’est pas une blague ni une exagération. En 1987, Jaspal Atwal, un ressortissant canadien d’origine indienne, a été condamné à 20 ans de prison par un tribunal canadien pour avoir participé à la tentative de meurtre d’un ministre d’État indien en visite. M. Atwal était l’un des quatre hommes qui ont tendu une embuscade et tiré sur Malkiat Singh Sidhu, alors membre du cabinet du Pendjab, qui se rendait au Canada pour le mariage d’un proche. Lors du prononcé de la sentence, le juge a qualifié le crime « d’acte de terrorisme pour faire avancer une cause ». M. Atwal était alors membre de l’International Sikh Youth Federation, un groupe terroriste interdit aux États-Unis et au Canada, au Royaume-Uni et en Inde. En 1985, il a également été accusé de tentative de meurtre dans le cadre d’un passage à tabac presque mortel de l’ancien premier ministre de la Colombie-Britannique (et membre du Cabinet libéral), Ujjal Dosanjh. M. Dosanjh l’a bien exprimé dans sa conversation avec la CBC la semaine dernière, lorsqu’il a demandé à Justin Trudeau : « N’avez-vous pas honte? »
Visiblement, non.
Bien que M. Atwal ait reçu une invitation à un dîner officiel à New Delhi et à une réception à Mumbai (où il a été photographié avec Sophie Grégoire Trudeau), et qu’on l’ait vu voyager avec la délégation canadienne, le premier ministre prétend que son invitation a été une erreur du député libéral Randeep Sarai de Surrey-Centre, en Colombie-Britannique.
Une erreur? Un cauchemar de relations publiques, certes, et une bévue diplomatique aux proportions épiques, mais une erreur, je n’en suis pas si sûr.
Ce n’est pas comme si M. Trudeau et ses collègues ne savaient pas qui était ce type. Il a assisté à des réceptions du Parti libéral pendant des années et a été photographié avec de nombreux anciens chefs libéraux et membres du Cabinet, dont Justin Trudeau, à plus d’une occasion.
Une explication plus vraisemblable est que M. Trudeau courtise la communauté sikhe riche en votes dans des circonscriptions clés de Toronto et de Vancouver (comme Surrey-Centre), qui ont aidé les libéraux à se faire élire en 2015. Les quatre ministres d’origine indienne de M. Trudeau sont sikhs et il s’est vanté publiquement du fait qu’il a plus de ministres sikhs que le premier ministre indien Modi, une autre raison pour laquelle les représentants du gouvernement indien l’ont snobé. Les libéraux devront gagner à nouveau dans ces circonscriptions dominées par les sikhs en 2019, d’où l’invitation de M. Atwal. Comme se demandent les médias du monde entier : De quelle autre façon, sinon à cause de l’incompétence flagrante de tous les autres intervenants actifs dans la planification, le filtrage et la sécurité du voyage, est-ce qu’un meurtrier et terroriste reconnu se rapproche autant du premier ministre et de sa famille?
Ce voyage ne visait pas à améliorer les relations avec un allié et un partenaire commercial potentiel immense. Tout tourne autour de la politique, de l’optique, de la flatterie, du symbolisme, des vacances et, comme toujours, de M. Trudeau lui-même.

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