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Falk Calls Out Justin Trudeau’s Double Standard on Summer Jobs Program

[:en]“In the House of Commons yesterday, Andrew Scheer, Leader of the Official Opposition, asked Prime Minister Justin Trudeau why his Liberal Government was supporting an anti-pipeline activist group with taxpayer funds through the Canada Summer Jobs Program.
The British Columbia-based Dogwood Initiative will receive funding to hire an assistant to help organize their network which is dedicated to stopping the Kinder Morgan pipeline.
Mr. Trudeau’s response took everyone by surprise when he said ‘… we believe in free speech and we believe in advocacy on this side of the house.’
It appears that Mr. Trudeau may be suffering from a short term memory problem. He has spent the past four months working hard to limit not only free speech, but freedom of thought, expression and belief. Faith-based organizations across the country this morning are shaking their heads in disbelief after their months-long battle to be included in the Canada Summer Jobs program.
Where was Mr. Trudeau’s defense of free speech for these groups?
But, Mr. Trudeau was not done. In order to drive the final nail through the hearts of those 1500 groups that were denied funding and the thousands of youth who were denied jobs, our Prime Minister went on to say ‘We will not remove funding from advocacy organizations because we as a government happen to disagree with them.’
So, Mr. Trudeau will fund groups that are actively trying to block a project in the national interest which would create tens of thousands of jobs, but is more than happy to deny funding to non-activist groups such as summer camps, daycares and seniors homes who simply, in their hearts, disagree with him on social issues?
Justin Trudeau should immediately apologize to the millions of Canadians who he has begun treating as second-class citizens.
As the Member of Parliament for Provencher, I will continue to defend the freedoms that all Canadians were intended to enjoy.”
[:fr]Hier, à la Chambre des communes, le chef de l’opposition, Andrew Scheer, a demandé au premier ministre Justin Trudeau pourquoi le gouvernement libéral appuyait un groupe d’activistes anti-pipeline avec l’argent des contribuables dans le cadre du programme Emplois d’été Canada.
L’organisme Dogwood, établi en Colombie-Britannique, recevra un financement pour embaucher un assistant qui l’aidera à organiser son réseau, dont l’objectif est de bloquer le projet d’oléoduc de Kinder Morgan.
La réponse de M. Trudeau a pris tout le monde par surprise lorsqu’il a dit : « […] nous croyons dans la liberté d’expression. Nous croyons également dans la défense des droits. »
Il semble que M. Trudeau a la mémoire courte. Au cours des quatre derniers mois, il a travaillé d’arrache-pied pour limiter non seulement la liberté d’expression, mais aussi la liberté de pensée, de parole et de croyance. Ce matin, des organisations confessionnelles de partout au pays n’en croyaient pas leurs oreilles après avoir milité pendant plusieurs mois pour être incluses dans le programme Emplois d’été Canada.
Où était la défense de la liberté d’expression de M. Trudeau lorsqu’il était question de ces groupes?
M. Trudeau n’avait cependant pas terminé. Afin de porter le coup de grâce à ces 1 500 groupes à qui on a refusé du financement et aux milliers de jeunes à qui on a refusé des emplois, notre premier ministre a ajouté : « Nous n’allons pas retirer du financement à des groupes de pression simplement parce que nous, en tant que gouvernement, ne sommes pas d’accord avec eux. »
M. Trudeau va donc financer des groupes qui essaient activement de bloquer un projet d’intérêt national qui créerait des dizaines de milliers d’emplois, mais il est plus qu’heureux de refuser le financement à des groupes non militants comme les camps d’été, les garderies et les résidences pour personnes âgées qui, au fond, sont en désaccord avec lui sur des questions sociales?
Justin Trudeau devrait s’excuser immédiatement auprès des millions de Canadiens qu’il traite maintenant comme des citoyens de seconde classe.
En tant que député de Provencher, je continuerai de défendre les libertés dont devraient jouir tous les Canadiens.
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