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Standing Up For Freedom of Conscience, Opinion and Belief

[:en]”I am a Canadian, free to speak without fear, free to worship in my own way, free to stand for what I think right, free to oppose what I believe wrong, or free to choose those who shall govern my country. This heritage of freedom I pledge to uphold for myself and all mankind.”
Those are the words of Conservative Prime Minister John Diefenbaker. They come from the Canadian Bill of Rights (1960), a ground-breaking piece of legislation that enshrined human rights and helped to define what it meant (and means) to be a Canadian. Its preamble states the Parliament of Canada affirms “that the Canadian Nation is founded upon principals that acknowledge the supremacy of God, the dignity and worth of the human person and the position of the family in a society of free men (and women) and free institutions.”
The Bill of Rights laid the framework for our Charter of Rights and Freedoms: The same charter that the Trudeau Liberals are now using to bully charities, people of faith and anyone who disagrees with their particular worldview – at this particular point in time.
I’ve written several times over the past three months regarding the Canada Summer Jobs (CSJ) Program and how the Trudeau Liberals are violating the Charter by forcing a values test upon Canadians.
The message from the Liberal Government is simple; if you don’t agree with their worldview on social issues you need not apply.
More than 1500 organizations from across the country were unwilling to sign the new discriminatory attestation and have received notices over the past few weeks that their applications have been rejected.
To attempt to put a stop to this new attestation requirement, Conservatives put forward the following motion:
“That, in the opinion of the House, organizations that engage in non-political non-activist work, such as feeding the homeless, helping refugees, and giving kids an opportunity to go to camp, should be able to access Canada Summer Jobs funding regardless of their private convictions and regardless of whether or not they choose to sign the application attestation.”
On Tuesday, the motion was defeated 207 to 93 with all but one Liberal in attendance voting against the motion. All Conservative MPs in attendance voted in favour.
Canadians should be extremely skeptical of a government that is basing funding decisions on whether or not you hold the same beliefs and values as they do. And if the Liberals are forcing Canadians to pass their ‘values test’ in order to receive CSJ funding today, what’s next? Will Canadians have to agree with the Liberals’ views to get their pensions when they retire? To receive certain tax credits or student loans? To get help with their Employment Insurance or even to receive their tax refund?
Yet, despite the outcry across the country on this issue, Mr. Trudeau has already stated that he would like to see such attestations put in place to access other Government funding.
The Canadian Charter of Rights and Freedoms exists to protect Canadians from the government infringing on their rights guaranteed therein. Mr. Trudeau’s approach is a clear breach of the Charter and downright un-Canadian. It is not a reach to say that the Trudeau Liberals are trampling on our heritage and the rights and freedoms so cherished by generations of Canadians.
Conservatives will continue fighting for Canadians on this important issue.

[:fr]« Je suis Canadien, libre de m’exprimer sans crainte, libre de pratiquer ma religion comme je l’entends, libre de défendre ce que j’estime juste, libre de m’opposer à ce que j’estime injuste et libre de choisir les dirigeants de mon pays. Je m’engage à préserver pour moi-même et l’humanité tout entière cet héritage de liberté. »
Ce sont des phrases qu’a prononcées John Diefenbaker, premier ministre conservateur. Elles émanent de la Déclaration canadienne des droits (1960), une mesure législative avant-gardiste qui a consacré les droits de la personne et qui a contribué à définir ce que cela signifiait (et signifie) le fait d’être Canadien. La Déclaration dispose, dans son préambule, que le Parlement du Canada proclame « que la nation canadienne repose sur des principes qui reconnaissent la suprématie de Dieu, la dignité et la valeur de la personne humaine ainsi que le rôle de la famille dans une société d’hommes [et de femmes] libres et d’institutions libres ».
La Déclaration des droits a jeté les fondements de notre Charte des droits et libertés : cette même Charte sur laquelle les libéraux de Trudeau s’appuient maintenant pour intimider les organismes de bienfaisance, les croyants et quiconque s’oppose à leur vision particulière du monde… en ce moment particulier.
J’ai écrit à plusieurs reprises au cours des trois derniers mois au sujet du programme Emplois d’été Canada (EEC) et de la façon dont les libéraux de Trudeau enfreignent la Charte en obligeant les Canadiens à subir un test des valeurs.
Le message du gouvernement libéral est fort simple : si vous n’appuyez pas sa vision des enjeux sociaux, il est inutile de présenter une demande.
Plus de 1 500 associations de tout le pays ont refusé de signer la nouvelle attestation discriminatoire et ont reçu au cours des quelques dernières semaines des avis du rejet de leur demande.
Pour tenter de mettre un frein à cette nouvelle exigence d’attestation, les conservateurs ont présenté la motion suivante :
« Que, de l’avis de la Chambre, les organisations qui font un travail apolitique et non militant, comme nourrir les sans-abri, soutenir les réfugiés et offrir à des enfants la chance de passer du temps dans un camp, soient en mesure d’accéder à du financement dans le cadre du programme Emplois d’été Canada, et ce, peu importe leurs convictions personnelles, et qu’elles signent ou non l’attestation de la demande. »
Mardi, la motion a été rejetée à 207 contre 93, tous les libéraux présents, sauf un, s’étant prononcés contre celle-ci. Tous les députés conservateurs présents ont voté pour.
Les Canadiens devraient être extrêmement sceptiques devant un gouvernement qui fonde ses décisions de financement sur le fait que l’on possède la même vision et les mêmes valeurs que lui. En outre, si les libéraux contraignent aujourd’hui les Canadiens à réussir leur « test de valeurs » afin de recevoir du financement d’EEC, quelles seront les prochaines étapes? Les Canadiens devront-ils être du même avis que les libéraux pour obtenir leur pension lorsqu’ils prendront leur retraite? Pour bénéficier de certains crédits d’impôt ou de prêts étudiants? Pour qu’on les aide à régler leurs problèmes d’assurance-emploi, ou même pour recevoir leur remboursement d’impôt?
Cette situation a suscité un tollé partout au pays; pourtant, M. Trudeau affirme déjà qu’il aimerait que l’accès à d’autres sources de financement fédérales soit aussi assorti de l’obligation de signer de telles attestations.
La Charte canadienne des droits et libertés a pour raison d’être de protéger les Canadiens contre tout gouvernement qui porte atteinte aux droits qui y sont garantis. L’approche de M. Trudeau constitue une violation évidente de la Charte, et est carrément contraire aux valeurs canadiennes. Il n’est pas exagéré de dire que les libéraux de Trudeau piétinent notre héritage ainsi que les droits et les libertés qui sont si chers aux Canadiens depuis plusieurs générations.
Les conservateurs continueront de se battre pour les Canadiens au sujet de cette importante question.
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