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Canada Sitting on the Sidelines

[:en]Hundreds of thousands of Canadian jobs rely on international trade – and the North American Free Trade Agreement (NAFTA) is a critically important component of that trade. In fact, 1-in-5 Canadian jobs are created as a result of free trade agreements.
But sadly, Canada is sitting on the sidelines while Mexico and the United States are busy renegotiating terms of the agreement. Recent reports state that it could be weeks before Canada is invited to the bargaining table.
It has been clear from day one that Justin Trudeau is out of his depth when it comes to international trade. The Prime Minister’s failed economic approach has left us weak and vulnerable to tariff action.
In recent months, President Trump announced new tariffs on Canada’s steel and aluminum industries and has threatened further tariffs on our auto sector. But the threat of American tariffs was certainly not a surprise. It had been looming for over a year, causing massive uncertainty and a turbulent investment climate.
Unfortunately for Canadians, instead of putting forward a concrete plan to deal with U.S. protectionism, Justin Trudeau failed to provide any measures in his last budget that would prepare Canadian industries for this possibility. And now, as a result of the U.S. tariffs, Canadian steel and aluminum companies are having to increase the prices of their products and are beginning to lay off workers.
Justin Trudeau’s failure to secure a deal on NAFTA—and the resulting tariffs—can largely be blamed on his insistence on including, and prioritizing, chapters on climate, indigenous and gender issues as a part of the deal. While these are important issues they do not belong in a trade negotiation. In addition, his refusal to compete for and attract international investment through lower taxes and less regulation means Canada is losing opportunities to strengthen and diversify its economy.
Andrew Scheer’s Conservatives understand why Canadians are deeply concerned with the NAFTA renegotiations. We know that thousands of jobs are on the line and livelihoods are at stake. We know that Canada simply cannot afford a trade war with the United States.
As Conservatives, we will always defend Canadian jobs and we will continue to hold Justin Trudeau’s feet to the fire on trade issues.
[:fr]Des centaines de milliers d’emplois canadiens dépendent du commerce international, et l’Accord de libre-échange nord-américain (ALENA) en constitue un aspect intégral. D’ailleurs, un emploi sur cinq découle d’un accord de libre-échange.
Toutefois, le Canada est à l’écart pendant que le Mexique et les États-Unis renégocient les termes de l’accord. Des rapports récents révèlent qu’il pourrait s’écouler plusieurs semaines avant que le Canada soit invité à la table de négociation.
Depuis le début de son mandat, il est évident que Justin Trudeau est dépassé par le commerce international. L’échec de la politique économique du premier ministre nous a affaiblis et laissés vulnérables aux mesures tarifaires.
Au cours des derniers mois, le président Trump a imposé de nouveaux tarifs aux industries de l’acier et de l’aluminium et à notre secteur automobile. Ceux ci n’étaient pas une surprise. Ils planaient depuis plus d’un an, causant de l’incertitude et minant les investissements.
Malheureusement pour les Canadiens, au lieu de concevoir un plan concret pour contrer le protectionnisme américain, Justin Trudeau n’a prévu aucune mesure dans son dernier budget pour préparer les industries canadiennes à l’imposition de tarifs. Maintenant, en raison de ceux ci, les producteurs d’acier et d’aluminium sont forcés d’augmenter le prix de leurs produits et commencent à licencier des travailleurs.
L’échec de la conclusion d’un nouvel ALENA par Justin Trudeau, et les tarifs connexes, sont largement attribuables à son insistance sur divers aspects, notamment le climat et les questions liées aux Autochtones et à l’égalité des sexes. Bien qu’il s’agisse de questions importantes, elles ne devraient pas faire partie de négociations commerciales. De plus, parce que le premier ministre refuse d’attirer des investissements internationaux en réduisant les impôts et en assouplissant la réglementation, le Canada perd des occasions de renforcer et de diversifier son économie.
Les conservateurs d’Andrew Scheer comprennent pourquoi les Canadiens sont très préoccupés par les négociations entourant l’ALENA. Nous savons que des milliers d’emplois sont en jeu et que des moyens de subsistance sont menacés. Nous savons que le Canada ne peut tout simplement pas se permettre une guerre économique avec les États-Unis.
En tant que conservateurs, nous défendrons toujours les emplois canadiens et continuerons de talonner Justin Trudeau sur les enjeux commerciaux.
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