As your Member of Parliament, what issue I should be focusing on? Click here to let me know!

Canada’s Debt “Unsustainable”

[:en]Earlier this week Canada’s Parliamentary Budget Officer presented Canadians and the Liberal Government with a severe warning. The current rate of government spending is “unsustainable” beyond 1-2 years.

To anyone with an ounce of common sense that might seem to be stating the obvious. The Liberal Government has racked up a deficit of roughly $343 billion, bringing our national debt to over $1 trillion. COVID or no COVID those are shocking numbers.

Sadly, when it comes to Justin Trudeau, there is no end to his reckless spending. He had already spent the cupboard bare and racked up record debt before COVID-19 hit. After all, as he so confidently stated back in 2015, “the budget will balance itself.”

It hasn’t.

In recent days, Justin Trudeau has indicated that he now plans to use COVID-19 as an opportunity to roll out “an ambitious green agenda” in the Throne Speech later this month.

According to one Liberal insider, who spoke to CBC news, Mr. Trudeau plans to dramatically expand social spending “on a scale we haven’t seen before”—likely, somewhere in the ballpark of an additional $100 billion of debt.

While environmental and social sustainability are important, we need to keep in mind that this is all borrowed money. It’s all debt. Eventually, somebody will need to pay.

Any family that sits around the kitchen table trying to balance the books (especially these days) understands the stress of looming unpaid debts—especially when incomes and business revenues are down.

The Budget Officer went further, stating that of equal concern was the absolute “absence of a longer-term plan.”

The Liberal Government just keeps racking up debt. There is no plan. There is no income. Only spending and debt. Now, they want to spend even more.

It is unclear if this latest financial virtue signaling by the Liberals is a ploy to raise expectations to make their actual throne speech seem more palatable, or if they are trying to force an election. Either way, it is a dangerous game they are playing with the nation’s finances.

Canada’s Conservatives will not play games with Justin Trudeau. If the Throne Speech is as reckless as we have been led to believe, we will vote against it. Our colleagues in the Bloc Quebecois have indicated they will do the same. That leaves the fate of the nation’s finances in the hands of the NDP—a frightening thought.

Conservatives understand that, even in times of crisis, we must keep our debt under control.

After the recession of 2009—the worst financial crisis since the great depression—our previous Conservative Government had a deficit of $55.6 billion (a far cry from Liberal’s $343 billion) and we had the budget back in balance within six years. We can do it again.

Canadians deserve a government that understands economics. A government that understands budgets don’t balance themselves. A government that understands the basic fact that you cannot borrow and spend your way out of debt, only into it.[:fr]Plus tôt cette semaine, le directeur parlementaire du budget du Canada a donné un sévère avertissement aux Canadiens et au gouvernement libéral. Le rythme auquel le gouvernement dépense actuellement est « insoutenable » au-delà d’un ou deux ans.

Toute personne qui possède une once de bon sens pourrait penser que le directeur parlementaire du budget énonce une évidence. Le gouvernement libéral a accumulé un déficit d’environ 343 milliards de dollars, ce qui porte la dette nationale à plus de 1 billion de dollars. Qu’on tienne compte de la COVID ou non, il s’agit de chiffres choquants.

Malheureusement, lorsqu’il est question de Justin Trudeau, il n’y a pas de limite à ses dépenses inconsidérées. Il avait déjà vidé les coffres et accumulé une dette record avant l’émergence de la COVID 19. Après tout, comme il l’a déclaré avec tant de confiance en 2015, « le budget s’équilibrera tout seul ».

Il ne l’a pas fait.

Au cours des derniers jours, Justin Trudeau a indiqué qu’il prévoit maintenant se servir de la COVID 19 pour lancer « un programme vert ambitieux » dans le discours du Trône qui sera prononcé plus tard ce mois-ci.

Selon un initié du Parti libéral, qui a parlé à CBC News, M. Trudeau prévoit augmenter considérablement les dépenses sociales et les porter « à un niveau sans précédent », probablement de l’ordre de 100 milliards de dollars en dette supplémentaire.

Bien que la durabilité environnementale et sociale soit importante, il ne faut pas oublier qu’il s’agit d’argent emprunté. C’est une dette. Tôt ou tard, quelqu’un devra la payer.

Toute famille qui se réunit autour de la table de la cuisine pour essayer d’équilibrer le budget (particulièrement de nos jours) comprend le stress provoqué par l’imminence des dettes impayées, surtout lorsque les revenus et les recettes des entreprises sont à la baisse.

Le directeur parlementaire du budget ne s’en est pas tenu à cela. Il a déclaré que la complète « absence de plan à long terme » était tout aussi préoccupante.

Le gouvernement libéral ne cesse d’accumuler des dettes. Il n’y a pas de plan. Il n’y a pas de revenus. Il n’y a que des dépenses et des dettes. Maintenant, il veut dépenser encore plus.

Il n’est pas clair si la dernière vertu ostentatoire financière des libéraux constitue un stratagème visant à susciter des attentes afin de rendre leur véritable discours du Trône plus acceptable ou s’ils essaient de forcer la tenue d’élections. Quoi qu’il en soit, ils jouent un jeu dangereux les finances de la nation.

Les conservateurs du Canada refusent de se livrer à de la politicaillerie avec Justin Trudeau. Si le discours du Trône est aussi irresponsable qu’on nous a menés à croire, nous voterons contre. Nos collègues du Bloc québécois ont indiqué qu’ils feront de même. Le sort des finances de la nation se trouve donc entre les mains du NPD, ce qui est une pensée effrayante.

Les conservateurs comprennent que, même en temps de crise, nous devons juguler la dette.

Après la récession de 2009 — soit la pire crise financière depuis la Grande Dépression —, le gouvernement conservateur précédent accusait un déficit de 55,6 milliards de dollars (loin de celui de 343 milliards de dollars des libéraux) et avait rétabli l’équilibre budgétaire en six ans. Nous pouvons le faire de nouveau.

Les Canadiens méritent un gouvernement qui comprend l’économie. Un gouvernement qui comprend que les budgets ne s’équilibrent pas tout seuls. Un gouvernement qui comprend le simple fait que les emprunts et les dépenses ne peuvent pas sortir un pays de l’endettement, ils ne font qu’accroître la dette.[:]