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Time for the experiment to end?

[:en]We all know someone who was gifted at their job, got promoted and became a disaster.

Governor General Julie Payette is widely regarded as a brilliant scientist and a pioneering astronaut, but she has proven time and again to be ill-suited for the role of Canada’s Vice-Regent.

The Governor General plays a vital role in our constitutional monarchy, publicly representing both Her Majesty the Queen and Canada.

Since her appointment in 2017, Julie Payette has not only refused to set aside her own self-interest, her behavior has ranged from diva- ish to disinterested, from domineering to downright bullying.

So, it came as no surprise in recent weeks that government sources are referring to Rideau Hall as a “house of horrors” under Payette.

Nearly a quarter of Rideau Hall’s 176 employees claim to have experienced workplace harassment and bullying since Payette took office.

According to a CBC investigation, these episodes tend to center around Payette’s need to prove she’s smarter than her staff, often giving them pop quizzes on outer space, then belittling them for not knowing the answer.

According to sources, Payette is constantly “exploding”, berating her staffers for their work, sometimes for hours at a time.

According to another source, tears are a daily occurrence in Rideau Hall.

“There was a victim in every meeting…It’s bullying and harassment at its worst.”

Payette was an odd choice for Governor General from the beginning.

She was charged with assault in 2011 and her tenure as head of the Montreal Science Centre was characterized by conflict and staff resignations. The latter should have been a huge red flag for Justin Trudeau as he considered her for the role of de-facto Head of State.

Since her appointment, Payette’s erratic, often egomaniacal, behavior and poor work ethic have become well known in Ottawa.

She is known to throw “tantrums” when her constitutional duties interfere with her desired schedule.

She has demanded $250,000 of unprecedented privacy upgrades to Rideau Hall, yet three years into her tenure she has yet to move into the official residence.

She has snubbed charities and those due to receive honours, choosing to mail medals rather than present them.

She has lashed out at people of faith, publicly ridiculing those who believe in creation, insulting everyone from Christians to Indigenous Canadians—including Her Majesty the Queen who is Head of the Church of England.

This unfortunate situation is yet another example of Justin Trudeau’s lack of judgment. Another in a long line of bad decisions based on shared ideology rather than qualification.

These new allegations, that Payette has created a toxic climate of harassment and abuse at Rideau Hall, have caused many to wonder if, perhaps, it’s time for the experiment to end.[:fr]Nous connaissons tous et toutes quelqu’un de très doué dans son métier qui a obtenu une promotion… pour finalement essuyer un échec.

La gouverneure générale Julie Payette, largement reconnue comme une brillante scientifique et une pionnière dans l’exploration spatiale, a démontré à de nombreuses reprises qu’elle ne mérite pas son titre.

Son rôle est crucial au sein de notre monarchie constitutionnelle puisqu’elle représente à la fois Sa Majesté la reine et le Canada.

Toutefois, depuis sa nomination en 2017, Julie Payette refuse de mettre de côté ses intérêts personnels et adopte une attitude arrogante, désinvolte, condescendante et parfois même dénigrante.

Il n’est donc pas surprenant qu’au cours des dernières semaines, des sources du gouvernement qualifient Rideau Hall de « maison des horreurs » sous la gouverne de Mme Payette.

Près d’une personne sur quatre parmi les 176 employés de Rideau Hall affirme avoir été victime de harcèlement et d’intimidation au travail depuis l’entrée en fonction de Mme Payette.

D’après une enquête menée par la CBC/SRC, la principale cause de ces épisodes de victimisation provient du besoin de Mme Payette de prouver sa supériorité intellectuelle. Par exemple, elle soumet souvent ses employés à des interrogatoires improvisés sur l’espace et les rabaisse lorsqu’ils ne connaissent pas les réponses.

Selon certaines sources, Mme Payette laisse fréquemment exploser sa colère et critique, parfois pendant des heures, le travail de son personnel.

Une autre source rapporte que des larmes sont versées tous les jours à Rideau Hall.

« Il y avait une victime à chaque réunion… C’est le pire de l’intimidation et du harcèlement. »

La nomination de Julie Payette au poste de gouverneur général a été une erreur dès le début.

Mme Payette a été accusée de voies de fait en 2011. Son mandat à la tête du Centre des sciences de Montréal a été marqué par des conflits et des démissions d’employés. Ces incidents auraient dû être un énorme signal d’alarme pour Justin Trudeau alors qu’il la considérait pour le poste de chef d’État de fait.

Depuis sa nomination, Julie Payette a un comportement excentrique et souvent égocentrique ainsi qu’une mauvaise éthique de travail bien connus à Ottawa.

Elle est aussi connue pour piquer des crises de colère lorsque ses devoirs constitutionnels entravent l’horaire qu’elle aurait voulu.

Elle a d’ailleurs exigé qu’on protège mieux sa vie privée à Rideau Hall, ce qui a coûté 250 000 $. Pourtant, trois ans après le début de son mandat, elle n’a toujours pas emménagé dans la résidence officielle.

Elle a négligé les organismes de bienfaisance et les personnes censées recevoir des distinctions honorifiques, choisissant de leur envoyer les médailles par la poste plutôt que de les leur remettre en mains propres.

Elle est allée jusqu’à s’en prendre aux personnes de foi, ridiculisant publiquement les croyants, sans épargner les chrétiens, les Autochtones et même Sa Majesté la reine, cheffe de l’Église anglicane.

Cette situation regrettable illustre encore une fois le manque de jugement de Justin Trudeau. Il s’agit là d’une autre des nombreuses mauvaises décisions fondées sur une idéologie partagée plutôt que sur la compétence.

Ces nouvelles allégations, selon lesquelles Payette aurait créé un climat toxique de harcèlement et de dénigrement à Rideau Hall, ont amené beaucoup de gens à se demander s’il n’est pas temps de mettre fin à son mandat.[:]