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Trudeau Sells Out Canadians for UN Seat

[:en]I’ve had a number of constituents ask me how Prime Minister Justin Trudeau is spending his time during the COVID-19 crisis. The answer may surprise you.

When not popping out of his cottage to answer softball questions from the national media, Justin Trudeau appears to have been spending a large chunk of his time campaigning for his dream of a temporary seat on the UN Security Council.

Back in February, when his government was busy ignoring public health warnings about the rapid spread of coronavirus—and as Canada’s railways were being illegally blockaded by protesters—Justin Trudeau was in Africa pandering to dictators in the hope of keeping his UN dreams alive.

If the Liberals’ UN bid is to be successful, Mr. Trudeau will be forced to make deals with leaders from such countries as Tanzania, the Democratic Republic of Congo, South Sudan and Kenya—all of which have been the perpetrators of human rights abuses, endemic violence and, in the
case of South Sudan and the Congo, genocide.

Canadians may also recall the Prime Minister’s generous use of $30,000 taxpayer dollars to take UN Ambassadors to a Broadway performance of the musical Come From Away. That, of course, is nothing compared the hundreds of millions he is likely to spend in his overall attempt to secure the seat.

This week, while he should be busy working to get Canada’s economy back up and running, he is, instead, busy meeting with leaders and diplomats who he feels may put him over the top at the UN.

In the last week alone, Justin Trudeau has spent his time lobbying at least 15 countries, including the leaders of serial human rights offenders Rwanda and Liberia and China who his still holding two Canadians hostage.

The hypocrisy of the Trudeau Liberals reaching out to oppressive African dictators with abysmal human rights and environmental records is, sadly, not surprising. As with the majority of what Justin Trudeau does, the symbolic trumps substance, with plain common sense never even entering the equation.

Justin Trudeau’s love affair with the dysfunctional United Nations has put Canadian sovereignty in danger on more than occasion.

He has funded the UN Relief and Works Agency, an organization with a long history of anti-Semitism and terrorist violence against Israel.

And now, during these difficult times, when the Prime Minster should be busy working to secure Canadian jobs, he’s selling out Canadians for his own vanity.

Here’s my question: Does the Prime Minister really believe that a temporary UN seat—where relations with three of the five permanent, veto power wielding, members of the Security Council are frosty at best—will really undo all the embarrassment and damage this Prime Minister has caused on the world stage?

Moreover, as Conservative leader Andrew Scheer aptly put it earlier this week, “What’s the point of having a UN seat if you have to sell out Canadian values to get it?”[:fr]Plusieurs de mes électeurs m’ont demandé comment le premier ministre Justin Trudeau passe son temps pendant la crise de COVID-19. La réponse risque de vous surprendre.

Il semble que, lorsqu’il ne sortait pas de son chalet pour répondre aux questions faciles des médias nationaux, Justin Trudeau a passé une grande partie de son temps à faire campagne pour son rêve d’avoir un siège temporaire au Conseil de sécurité de l’ONU.

En février dernier, alors que son gouvernement était occupé à ignorer les avertissements de santé publique concernant la propagation rapide du coronavirus — et que les chemins de fer canadiens étaient bloqués illégalement par des manifestants, Justin Trudeau était en Afrique, cherchant à plaire à des dictateurs dans l’espoir d’alimenter son rêve de siéger à l’ONU.

Si la candidature des libéraux à l’ONU est retenue, M. Trudeau sera obligé de conclure des ententes avec les dirigeants de pays tels que la Tanzanie, la République démocratique du Congo, le Soudan du Sud et le Kenya — tous auteurs de violations des droits humains, de violences endémiques et, dans le cas du Soudan du Sud et du Congo, de génocides.

Les Canadiens se souviendront également que le premier ministre a généreusement utilisé 30 000 dollars de l’argent des contribuables pour emmener les ambassadeurs des Nations Unies à une représentation, à Broadway, de la comédie musicale Come From Away. Bien entendu, ce n’est rien en comparaison des centaines de millions qu’il risque de dépenser dans le cadre de sa tentative d’obtenir son siège.

Cette semaine, alors qu’il devrait être occupé à travailler pour relancer l’économie canadienne, il est plutôt occupé à rencontrer des dirigeants et des diplomates qui, selon lui, pourraient le faire gagner à l’ONU.

Au cours de la semaine dernière seulement, Justin Trudeau a passé son temps à faire du lobbying auprès d’au moins 15 pays, y compris auprès des dirigeants du Rwanda et du Libéria, qui ont violé les droits humains à répétition, et de la Chine, qui détient toujours deux Canadiens en otage.

L’hypocrisie des libéraux de Trudeau, qui ont tendu la main à des dictateurs africains ayant un bilan catastrophique en matière de droits humains et d’environnement, n’est malheureusement pas surprenante. Comme pour la plupart des actions de Justin Trudeau, le symbolique l’emporte sur la substance, le bon sens n’entrant même pas en ligne de compte.

L’histoire d’amour de Justin Trudeau avec des Nations unies dysfonctionnelles a mis la souveraineté canadienne en danger plus d’une fois.

Il a financé l’Office de secours et de travaux des Nations Unies, une organisation ayant une longue tradition d’antisémitisme et de violence terroriste contre Israël.

Et maintenant, en ces temps difficiles, au lieu de tenter de préserver les emplois des Canadiens, le premier ministre les trahit pour sa propre gloire.

Voici ma question : Le premier ministre croit-il vraiment qu’un siège temporaire à l’ONU — où les relations avec trois des cinq membres permanents du Conseil de sécurité qui ont un droit de veto sont, au mieux, glaciales — va vraiment remédier à tout l’embarras et aux dommages qu’il a causés sur la scène mondiale?

De plus, comme l’a très bien dit le chef conservateur, Andrew Scheer, en début de semaine : « À quoi bon avoir un siège à l’ONU si vous devez vendre les valeurs des Canadiens pour l’obtenir? »

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