Falk Reacts to Liberal Buy-Out of Trans Mountain
[:en]May 30, 2018
Yesterday, the Liberal Government announced that they will use taxpayer dollars to buy the Trans Mountain pipeline from Kinder Morgan for $4.5 billion. The government will also take over the expansion and core assets. However, Prime Minister Justin Trudeau has refused to reveal the final cost to taxpayers.
“Kinder Morgan has never asked for one dollar of taxpayer money. All the company wanted was certainty,” said Ted Falk, Member of Parliament for Provencher. “But because of Justin Trudeau’s lack of leadership on this issue, Canadian taxpayers will now be forced to pay the bill.”
Canadians have been waiting for over a year and a half to see a concrete plan to make sure that the Trans Mountain pipeline extension is built. Instead, Justin Trudeau has offered one delay after another, and he has failed to champion this project in British Columbia.
Prime Minister Trudeau previously vetoed the approved Northern Gateway pipeline and killed the Energy East pipeline with last minute rule changes and a regulatory standard that doesn’t apply to any other sector of the Canadian economy. His decisions to impose an oil tanker ban, a job-killing carbon tax and new regulations that penalize Canadian oil exports have damaged investor confidence and forced companies to reconsider future projects.
Canada’s Conservatives understand that by setting the conditions for success, low taxes and less redundant regulations, projects like Trans Mountain can be built without a burden to the taxpayer. Under the previous Conservative government, four pipelines were built without any taxpayer funding.
“We will continue to stand up for Canada’s resource sector, and most importantly, the men and women whose livelihoods depend on it,” added MP Falk. “They can count on Canada’s Conservatives to give them a voice against a Prime Minister determined to phase out their jobs.”
[:fr]Le 30 mai 2018
Hier, le gouvernement libéral a annoncé qu’il achètera, avec l’argent des contribuables, le pipeline Trans Mountain de Kinder Morgan pour 4,5 milliards de dollars. Le gouvernement acquerra aussi le projet d’agrandissement du réseau et les actifs connexes. Le premier ministre Justin Trudeau a toutefois refusé de révéler le coût total pour les contribuables.
« Kinder Morgan n’a jamais demandé à recevoir la moindre somme des fonds publics. Tout ce que voulait la compagnie, c’était plus de certitude », a déclaré Ted Falk, député fédéral de Provencher. « Mais à cause du manque de leadership de Justin Trudeau dans ce dossier, les contribuables canadiens devront maintenant payer la note. »
Les Canadiens attendent depuis plus d’un an et demi la présentation d’un plan concret pour assurer la réalisation du projet d’agrandissement du pipeline Trans Mountain. Justin Trudeau a plutôt enchaîné délai par-dessus délai, et n’a pas su défendre ce projet en Colombie-Britannique.
Le premier ministre Trudeau avait auparavant opposé son veto à l’oléoduc Northern Gateway et torpillé l’oléoduc Énergie Est au moyen de l’établissement de nouvelles règles à la dernière minute ainsi que d’une norme de réglementation qui ne s’applique dans aucun autre secteur de l’économie canadienne. Sa décision d’imposer l’interdiction des pétroliers, une taxe sur le carbone destructrice d’emplois et de nouveaux règlements qui pénalisent les exportations canadiennes de pétrole a miné la confiance des investisseurs et obligé les entreprises à remettre en question les futurs projets.
Les conservateurs du Canada comprennent qu’il suffit de mettre en place les conditions du succès, des impôts modérés et des règlements moins redondants pour que des projets comme Trans Mountain puissent se concrétiser sans grever les contribuables. Sous le précédent gouvernement conservateur, quatre pipelines ont été construits sans un sou des contribuables.
« Nous allons continuer de défendre le secteur canadien des ressources et surtout les hommes et les femmes dont le gagne-pain en dépend, a ajouté le député Falk. Ils peuvent compter sur les conservateurs du Canada pour faire entendre leur voix à un premier ministre déterminé à faire disparaître leurs emplois. »
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