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2020: A Year in Review

[:en]It’s been quite a year in Ottawa.

Obviously, COVID-19 was the big story of the year, but there were other things happening in 2020 as well.

In February, I had the honour of being appointed to the National Security and Intelligence Committee of Parliamentarians. This committee reviews the actions of all our agencies in relation to security and intelligence including our military and law enforcement. It is highly sensitive work, and it has been a very rewarding experience.

In March, it became clear the coronavirus was going to be a major issue and it became equally clear that the Liberal government had been caught completely off-guard—despite repeated warnings from health and intelligence officials. In fact, the Liberals just months before the COVID -19 outbreak made significant cuts and reduced the international monitoring function of the Global Public Health Intelligence Network.

In May, Justin Trudeau used the specter and emotion of a tragic shooting spree in Nova Scotia to blindside law-abiding firearms owners with new restrictions while failing to address the real source of the problem: illegal gun acquisition and gun smuggling across the Canada-US border.

In June, having spent millions and his last shred of credibility on the world-stage, Justin Trudeau lost his bid and his dream of having a UN security council seat. Another in a long line of embarrassing failures on the world-stage.

In July, controversial Trudeau-appointed Governor General Julie Payette once again made headlines, this time for creating a toxic work environment at Rideau Hall. She remains under investigation.

It was also in July that the WE charity scandal broke. The Liberal government directed nearly half a billion dollars in funding to a charity with close ties to the Liberal Party that had paid hundreds of thousands of dollars to members of the Trudeau family and other Liberal insiders.

In August, Finance Minister Bill Morneau resigned after it came to light that two of his daughters worked for WE and that he had received a $40,000 luxury vacation paid for by the organization. Chrystia Freeland was appointed to the finance portfolio.

The WE Charity fiasco was just one example in a pattern of Liberals giving contracts to their friends.

Embroiled in scandal, Justin Trudeau shut down parliament. This meant he didn’t have to face the daily barrage of questions in Question Period that help to hold him to account. It also stalled the work of parliamentary committees tasked with investigating the WE scandal.

When Parliament resumed in the fall, several troubling pieces of legislation were re-introduced including Bill C-6 (Conversion Therapy Ban) and C-7 (expanded Medical Assistance in Dying).

In October, I had the honour of being appointed to the Finance Committee. This has given me additional opportunities to hold the Liberals to account for their management of Canada’s economy.

In late October and through November, I heard from constituents in our border communities that they were suddenly being required to quarantine when they attended essential medical appointments in the United States. I quickly reached out to the relevant Liberal ministers, as well as our provincial counterparts, advocating on behalf of our border communities. To date, we have not seen a resolution, but have support from MLA Dennis Smook and our Manitoba’s Health Minister. I am hopeful we will see a common-sense solution in the near future.

In December, we saw a fiscal update from the government, with an unprecedented projected deficit of over $400 billion. Around the same time, it came to light that hundreds of billions of dollars in “COVID-19” spending is unaccounted for. Ensuring that Canadians’ hard-earned tax dollars are well-managed has always been a key focus for me and this work will continue into 2021.

There was some good news for Canadians in this otherwise bleak year. In August, the Hon. Erin O’Toole was elected as the new leader of the Conservative Party of Canada. Under Mr. O’Toole’s leadership, our Conservative team continues to hold the Liberals accountable for their failures and ethical breaches and offer common sense, family focused solutions to help get Canada back on track. We look forward to earning the trust of Canadians in 2021.[:fr]L’année qui se termine a été plutôt mouvementée à Ottawa.

Bien sûr, la COVID 19 a fait les grands titres, mais d’autres événements ont aussi marqué l’année 2020.

En février, j’ai eu l’honneur d’être nommé au Comité des parlementaires sur la sécurité nationale et le renseignement. Ce comité examine les activités liées à la sécurité et au renseignement de tous nos organismes, y compris nos forces armées et nos forces de l’ordre. Il s’agit d’un travail de nature très délicate et l’expérience a été des plus enrichissantes.

En mars, il est devenu manifeste que le coronavirus allait poser un défi de taille. Malgré les alertes répétées des fonctionnaires de la santé et du renseignement, le gouvernement libéral a été totalement pris au dépourvu. En vérité, quelques mois à peine avant l’éclosion, les libéraux ont appliqué des restrictions budgétaires importantes et limité la fonction de surveillance internationale du Réseau mondial d’information en santé publique.

En mai, à la suite d’une tragique fusillade en Nouvelle-Écosse, Justin Trudeau a joué la corde de la peur et de l’émotion pour imposer de nouvelles restrictions aux propriétaires d’armes à feu respectueux de la loi, sans s’attaquer à la véritable source du problème : l’acquisition d’armes illégales et le trafic d’armes entre le Canada et les États-Unis.
En juin, après avoir dilapidé des millions et miné le peu de crédibilité qu’il lui restait sur la scène mondiale, Justin Trudeau a perdu son pari et son rêve d’un siège au Conseil de sécurité des Nations Unies. Ce nouveau revers est venu s’ajouter à sa longue série de défaites gênantes sur l’échiquier mondial.

En juillet, Mme Julie Payette – la controversée gouverneure générale nommée par Justin Trudeau – a encore fait la manchette, cette fois pour l’environnement de travail toxique créé à Rideau Hall. Une enquête est en cours.

C’est aussi en juillet qu’a éclaté le scandale de l’organisme UNIS. Le gouvernement libéral a versé près d’un demi-milliard à un organisme de bienfaisance qui entretenait des liens étroits avec le Parti libéral et qui a remis des centaines de milliers de dollars à des membres de la famille Trudeau et à d’autres proches des libéraux.

En août, le ministre des Finances, Bill Morneau, a démissionné à la suite de révélations selon lesquelles deux de ses filles travaillaient pour l’organisme UNIS, lequel lui avait payé des vacances de luxe d’une valeur de 40 000 $. Chrystia Freeland a été nommée au portefeuille des finances.

Le fiasco de l’organisme UNIS prouve une fois de plus que les libéraux ont l’habitude d’accorder des contrats à leurs amis.

Empêtré dans le scandale, Justin Trudeau a mis fin aux travaux du Parlement, ce qui lui a évité de rendre des comptes au cours de la période des questions quotidienne. La clôture du Parlement a aussi signifié la fin des travaux des comités parlementaires qui faisaient enquête sur le scandale de l’organisme UNIS.

À la reprise des travaux parlementaires, à l’automne, plusieurs textes législatifs troublants ont été présentés de nouveau, notamment les projets de loi C 6 (interdiction des thérapies de conversion) et C 7 (élargissement de l’aide médicale à mourir).

En octobre, j’ai eu l’honneur d’être nommé au Comité des Finances. Ce rôle m’a fourni de nouvelles occasions de demander des comptes aux libéraux pour leur gestion de l’économie canadienne.

À la fin d’octobre et tout au long du mois de novembre, des citoyens de nos collectivités frontalières m’ont dit qu’ils étaient dorénavant tenus d’observer une quarantaine après s’être rendus aux États-Unis pour des visites médicales essentielles. J’ai rapidement communiqué avec les ministres libéraux concernés, ainsi que nos homologues provinciaux, pour plaider la cause de nos collectivités frontalières. Le problème n’a pas encore été réglé, mais nous avons l’appui du député provincial Dennis Smook et de notre ministre de la Santé du Manitoba. J’ai confiance qu’une solution sensée sera bientôt apportée à ce problème.

En décembre, le gouvernement a produit une mise à jour relative à la situation financière, qui prévoyait un déficit sans précédent de plus de 400 milliards de dollars. À la même période, nous avons appris que des dépenses liées à la COVID 19, de l’ordre de centaines de millions de dollars, n’avaient pas été comptabilisées. Une saine gestion de l’argent durement gagné par les contribuables canadiens a toujours constitué pour moi une priorité et le demeurera en 2021.

Malgré sa morosité, l’année qui s’achève a apporté quelques bonnes nouvelles aux Canadiens. En août, l’honorable Erin O’Toole a été élu chef du Parti conservateur du Canada. Sous sa gouverne, l’équipe des conservateurs continue d’exiger des comptes des libéraux pour leurs échecs et leurs manquements à l’éthique, tout en proposant des solutions sensées et centrées sur les familles, afin de remettre le pays dans le droit chemin. Je suis persuadé que nous saurons gagner la confiance du public canadien en 2021.
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