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Justin Trudeau Wants an Election: Do You?

[:en]Justin Trudeau wants an election so bad he just can’t keep it to himself.

As recently as last week, NDP Leader Jagmeet Singh told CBC’s Power and Politics that Trudeau reportedly told him in a phone call that he was planning for a spring election

This is not the first time the Prime Minister has let the cat out of the bag.

Back in December, he reportedly told the Liberal Party’s National Board of Directors that “it looks like” the election will happen in the spring.

In January, he more publicly teased the possibility of an election on a Montreal radio station.

The Liberals’ shameless attacks on firearms owners and billions pledged to public transport and electric cars are transparent love letters to Trudeau’s largely eastern, urban base, and the looming spring budget—an easy election starting gun if ever there was one—all point to a spring election.

As former NDP Leader Tom Mulcair, recently, wrote in the Montreal Gazette:

“Anyone who entertained doubts that Justin Trudeau is doing everything he can to clear the runway for a spring election only had to look at events of last week to understand that he’s going to go to the polls as soon as he decently can. From gun control to language rights, Team Trudeau has been checking the boxes on unfulfilled promises and making new ones on the pandemic front.”

Then there was a recent cryptic Tweet by Trudeau confidant Gerald Butts—who resigned over the SNC Lavalin scandal but has remained in the PM’s inner circle—stating that concerns over the Liberals (botched) vaccine rollout “is going to seem like a distant and transparently partisan artifact by the May 24 weekend, if not Easter”.

Given that the consequences of Justin Trudeau’s short-sighted decisions (and his government’s incompetent execution thereof) will soon come to bear, I can’t blame Justin Trudeau for wanting to go to the polls.

What I do blame him for is playing political games while (on his watch) Canadians have been rocked by a year of unprecedented hardships. While Justin Trudeau plays partisan games, Canada’s Conservatives are focused on the needs of Canadians.

Justin Trudeau may think he holds all the cards but he should not be under any illusion of an easy victory. He has a long track record of self-inflicted wounds, the worst economic record of any G7 country, and he can be assured that if he calls a snap election, Canada’s Conservatives will be ready—and we plan to win.
[:fr]Justin Trudeau veut tellement des élections qu’il est incapable de penser à autre chose.

Pas plus tard que la semaine dernière, le chef du NPD, Jagmeet Singh, a déclaré sur les ondes de l’émission Power and Politics sur les ondes de la CBC, que Justin Trudeau lui aurait dit qu’il prévoyait des élections au printemps, lors d’une conversation téléphonique.

Ce n’est pas la première fois que le premier ministre vend la mèche.

En décembre, il aurait dit au Conseil national d’administration du Parti libéral qu’il « semblerait » que des élections auront lieu au printemps.

En janvier, il a publiquement laissé entendre, sur les ondes d’une station de radio montréalaise, la possibilité d’une élection.

Les attaques éhontées des libéraux contre les propriétaires d’armes à feu ainsi que les milliards promis aux transports publics et aux voitures électriques sont des promesses creuses adressées à la base urbaine de Justin Trudeau, majoritairement située dans l’est du pays. L’imminence du budget du printemps — coup de départ facile pour les élections, s’il en est un — indique aussi que des élections auront lieu au printemps.

Comme l’ancien chef du NPD, Tom Mulcair, l’a récemment écrit dans la Montreal Gazette :

« Quiconque avait des doutes sur le fait que Justin Trudeau fait tout ce qu’il peut pour déclencher une élection printanière n’avait qu’à regarder les événements de la semaine dernière pour comprendre qu’il se rendra aux urnes dès qu’il pourra le faire de manière décente. Du contrôle des armes à feu aux droits linguistiques, l’équipe de Justin Trudeau a coché les cases des promesses non tenues et en a fait des nouvelles en lien avec la pandémie ».

Ensuite, il y a eu un récent tweet énigmatique de la part de Gerald Butts, confident de Justin Trudeau, qui a démissionné en raison du scandale de SNC-Lavalin, mais qui n’a pas quitté le cercle intime du premier ministre. Son tweet indique que les préoccupations concernant le déploiement (bâclé) des vaccins par les libéraux « vont sembler être un artefact lointain et ouvertement partisan d’ici la fin de semaine du 24 mai, voire de Pâques ».

Étant donné que les conséquences des décisions irréfléchies de Justin Trudeau (et l’exécution incompétente de ces dernières décisions par son gouvernement) se feront bientôt sentir, je ne peux pas blâmer Justin Trudeau de vouloir aller aux urnes.

Ce que je lui reproche, c’est de se livrer à des jeux politiques alors que (sous sa direction) les Canadiens ont été ébranlés par une année remplie de difficultés sans précédent. Pendant que Justin Trudeau se livre à ses jeux partisans, les conservateurs du Canada se concentrent sur les besoins des Canadiens.

Justin Trudeau pense peut-être qu’il a toutes les cartes en main, mais il ne doit pas se faire d’illusion sur une victoire assurée. Il a un long passé de souffrance auto-infligée et le pire bilan économique de tous les pays du G7. Il peut être assuré que s’il déclenche des élections surprises, les conservateurs du Canada seront prêts – et nous avons l’intention de les gagner.[:]