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Governor General Forced to Resign

[:en]Justin Trudeau’s handpicked Governor General has resigned in disgrace.

Julie Payette stepped down, last week, amid what sources describe as a “scathing” report into allegations of bullying and “toxic” workplace behaviour at Rideau Hall.

The Governor General acts, on behalf of Her Majesty the Queen, as Canada’s ceremonial Head of State: appointing Prime Ministers, dissolving governments and granting Royal assent to bills in Canada’s Parliament. It is an important constitutional role and one that must be above political partisanship.

Our previous Conservative Government created a non-partisan appointment process to nominate Governors General. Justin Trudeau chose to ignore this process and handpicked Payette.

According to those who worked for her, Payette turned Rideau Hall into a “house of horrors”, “exploding” at staffers, berating them, sometimes for hours at a time.

According to one source, “there was a victim in every meeting… it’s bullying and harassment at its worst.”

Payette threw tantrums when her constitutional duties interfered with her personal schedule, and often ignored them, garnering a reputation for being lazy and “diva-ish”.

Her swearing in ceremony alone cost Canadian taxpayers $649,000.

She demanded $250,000 of unprecedented privacy upgrades to Rideau Hall but refused to move into the official residence.

She, publicly, lashed out at people of faith.

Now, she has been forced to resign.

Make no mistake, Payette’s bullying, erratic and diva-ish behavior was well known long before her appointment as Vice-Regent.

Justin Trudeau knew about her 2011 charge for assault and her brief tumultuous tenure at the Montreal Science Museum; one characterized by discord and staff resignations. He knew those she’d worked with in Canada’s Military saw her as arrogant to the point of being dangerous. He knew about her resignation from the Canadian Olympic Committee after not one but two separate investigations into her abuse of staff members.

All of this should have proved to the Prime Minister what anyone who had ever worked with her saw as obvious; Julie Payette was a bully, and temperamentally unsuited to the role of Governor General.

Sadly, Justin Trudeau “knew better”. Julie Payette checked off the symbolic boxes that mattered more to him than suitability or safety, thus his choice to ignore the many red flags in her colourful past.

This unfortunate situation is yet another example of Justin Trudeau’s utter lack of judgment. This failure just one in a long line of bad decisions by the Prime Minster based on ideology rather than qualification. As such, he has stalwartly refused to apologize or take any responsibility for the debacle he, and he alone, is responsible for creating.

As one journalist put it, last week: “it goes to the heart of Prime Minister Justin Trudeau’s [own] toxic mix of incompetence and arrogance—again.”

Julie Payette has brought shame on one of Canada’s most important institutions. As such, I wholeheartedly agree with Conservative Leader Erin O’Toole that she should not receive the customary post-mandate expense account

Canadians deserve a Vice-Regent who possesses the humility, grace and heart of service that the job requires.

Canadians deserve better than Julie Payette and they deserve better than Justin Trudeau, too.[:fr]La gouverneure générale nommée par Justin Trudeau a démissionné dans la honte.

La semaine dernière, Julie Payette a quitté ses fonctions à la suite de ce que certaines sources décrivent comme un rapport « cinglant » sur des allégations d’intimidation et de comportement « toxique » en milieu de travail à Rideau Hall.

La personne qui occupe le poste de gouverneur général exerce, au nom de Sa Majesté la Reine, les fonctions cérémonielles de chef d’État du Canada. Elle nomme le premier ministre, dissout le Parlement et accorde la sanction royale aux projets de loi du Parlement du Canada. Il s’agit d’un rôle constitutionnel important qui doit se situer au-dessus de la partisanerie politique.

Notre gouvernement conservateur précédent a créé un processus de nomination non partisan pour désigner le gouverneur général. Justin Trudeau n’a pas tenu compte de ce processus et il a choisi Julie Payette.

De l’avis des gens qui ont travaillé pour elle, Julie Payette a transformé Rideau Hall en une « maison des horreurs ». Elle s’emportait contre des employés et les réprimandait, parfois pendant des heures.

Selon une source, « il y avait une victime à chaque réunion… c’est la pire forme d’intimidation et de harcèlement ».

Julie Payette piquait des colères lorsque ses obligations constitutionnelles contrecarraient son emploi du temps personnel et les négligeait souvent, ce qui lui a valu la réputation d’être paresseuse et de jouer la « diva ».

À elle seule, sa cérémonie d’assermentation a coûté 649 000 $ aux contribuables canadiens.

Elle a exigé que des améliorations sans précédent, au coût de 250 000 $, soient apportées à Rideau Hall pour protéger sa vie privée, mais elle a refusé d’emménager dans la résidence officielle.

Julie Payette a critiqué publiquement les croyants.

Elle a maintenant été forcée de démissionner.

Ne nous y trompons pas : les actes d’intimidation qu’elle a commis, son comportement erratique et ses caprices de diva étaient connus bien avant qu’elle soit nommée au poste de vice-reine.

Justin Trudeau était au courant des accusations de voies de fait qui avaient été portées contre elle en 2011 et de son bref passage tumultueux au Centre des sciences de Montréal, un mandat caractérisé par la discorde et la démission de membres du personnel. Le premier ministre savait que les gens avec qui elle avait travaillé dans les Forces armées canadiennes la considéraient comme une personne arrogante au point d’être dangereuse. Il savait qu’elle avait démissionné du Comité olympique canadien après le déclenchement non pas d’une, mais de deux enquêtes distinctes sur son comportement envers des membres du personnel.

Tout cela aurait dû prouver au premier ministre ce que tous les gens qui avaient déjà travaillé avec elle considéraient comme une évidence : Julie Payette avait un comportement de petit tyran et son tempérament ne convenait pas au rôle de gouverneur général.

Malheureusement, Justin Trudeau était « meilleur juge ». Le choix de Julie Payette lui permettait de cocher les cases symboliques qui comptaient plus pour lui que les aptitudes ou la sécurité, d’où son choix de fermer les yeux sur les nombreux signaux d’alarme concernant son passé mouvementé.

Cette situation malheureuse montre une fois de plus que Justin Trudeau manque totalement de jugement. Cet échec s’ajoute à une longue série de mauvaises décisions prises par le premier ministre, fondées sur l’idéologie plutôt que sur les qualifications. Il a donc refusé de s’excuser ou d’assumer une quelconque responsabilité dans ce gâchis dont il est le seul responsable.

Comme l’a dit un journaliste la semaine dernière, « cela illustre parfaitement le mélange toxique composé d’incompétence et d’arrogance dont fait preuve le premier ministre Justin Trudeau – encore une fois ».

Julie Payette a déshonoré l’une des plus importantes institutions du Canada. C’est pourquoi je suis entièrement d’accord avec le chef du Parti conservateur, Erin O’Toole, pour dire qu’elle ne devrait pas avoir le compte de dépenses qu’un gouverneur général a habituellement après son mandat.

Les Canadiens méritent un vice-roi ou une vice-reine qui fait preuve d’humilité et qui a le sens du service, comme le poste l’exige.

Les Canadiens méritent mieux que Julie Payette, et mieux que Justin Trudeau également.
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