Justin Trudeau Must Act to End Illegal Blockades
[:en]The Government of Canada has two primary responsibilities: public safety and economic prosperity. Unfortunately, in both regards, Justin Trudeau has been missing in action.
Radical activists, opposing a pipeline project in B.C., are holding our country hostage.
The illegal rail and road blockades by a small group of Indigenous (and non indigenous) protesters– many of whom have no connection to the Wet’suwet’en people – pose a threat not only to law and order and Canada’s economy but are a subversion of our democracy and an existential threat to Canadian sovereignty.
Under Canada’s Constitution, the duty to consult with impacted Indigenous Canadians and communities on energy projects is clear and has been upheld by numerous court decisions. Conservatives have long advocated steps to ensure Indigenous peoples are able to more fully participate in Canada’s economy. Projects like the Coastal Gas Link Pipeline help make that opportunity a reality.
How, then, can a small group of radicals be allowed to negate the wishes of 20 elected Band Councils and an overwhelming majority (85%) of the Wet’suwet’en people who are in favour of the pipeline?
Every Canadian has the right to freedom of speech and the freedom to peacefully protest but the courts have ruled: These blockades are illegal.
For Justin Trudeau to reach out his hand to criminals and offer dialogue is an abdication of his duties as Prime Minister, and Canadians have had enough.
By refusing to act, the Liberal government is setting a dangerous precedent that a small group of radicals can not only have a devastating impact on the lives of countless Canadians but give them a seat at the table.
Keep in mind, many of these protesters are professional activists and these blockades are just a warm up act. In the end, their goal is the shut-down of our entire energy sector. This is step one in their agenda of anarchy. Anarchy the Trudeau Liberals are seeking to appease with (what Conservative Leader Andrew Scheer rightly called) “the weakest response to a national crisis in Canadian history.”
We cannot let anyone run roughshod over the rule of law in Canada.
The RCMP Act is clear. The Minister of Public Safety has the ultimate authority over Canada’s national police force, and he has the power to direct the RCMP to enforce the court order. Likewise, Canada’s National Defense Act allows for (regular) co-operation between Canada’s Armed Forces and civilian police to enforce Canada’s laws.
It’s time for Justin Trudeau to pick up the phone and put an end to this situation.
For all Canadians.[:fr]Le gouvernement du Canada a deux grandes responsabilités : assurer la sécurité publique et la prospérité économique. Malheureusement, dans ces deux dossiers, Justin Trudeau est totalement passif.
Des activistes radicaux qui s’opposent à un projet de gazoduc en Colombie Britannique ont pris notre pays en otage.
Les barrages routiers et ferroviaires érigés illégalement par un petit groupe de manifestants autochtones (et non autochtones) – dont bon nombre n’ont aucun lien avec les Wet’suwet’en – non seulement mettent en jeu l’ordre public et l’économie canadienne, mais représentent une subversion de la démocratie et une menace existentielle pour la souveraineté du Canada.
La Constitution canadienne établit sans équivoque l’obligation de consulter la population et les communautés autochtones concernées au sujet des projets énergétiques, et cette obligation a été confirmée par les tribunaux à maintes reprises. Les conservateurs préconisent depuis longtemps l’adoption de mesures visant à donner aux Autochtones l’occasion de participer pleinement à l’économie canadienne. Des projets comme le gazoduc de Coastal GasLink contribuent à faire de cette occasion une réalité.
Comment peut on alors laisser un petit groupe d’activistes radicaux bafouer la volonté des 20 conseils de bande élus et de la majorité écrasante (85 %) des Wet’suwet’en qui appuient le projet?
Chaque Canadien a le droit à la liberté d’expression et le droit de manifester pacifiquement, mais les tribunaux ont tranché : ces barrages sont illégaux.
En tendant la main à des criminels et en leur offrant de dialoguer, Justin Trudeau manque à ses devoirs de premier ministre, et les Canadiens en ont assez.
En refusant d’agir, le gouvernement libéral crée un dangereux précédent : en plus de permettre qu’un petit groupe d’extrémistes puisse avoir un effet dévastateur sur la vie d’innombrables Canadiens, on leur laisse les coudées franches.
Il ne faut pas oublier que bon nombre de ces manifestants sont des activistes professionnels et que ces barrages ne sont qu’un prélude. Leur but ultime est de paralyser l’ensemble du secteur énergétique canadien. Ce que nous voyons est seulement la première étape de l’état d’anarchie dans lequel ils veulent nous plonger. Un chaos dont les libéraux de Justin Trudeau tentent de nous sortir au moyen de ce que le chef conservateur Andrew Scheer a qualifié à juste titre de « réaction la plus faible à une crise nationale de l’histoire de notre pays ».
Nous ne pouvons pas laisser qui que ce soit faire fi de la primauté du droit au Canada.
La Loi sur la Gendarmerie royale du Canada est claire. Le ministre de la Sécurité publique détient l’autorité ultime à l’égard de la police nationale du Canada, et il a le pouvoir d’exiger que la GRC fasse respecter l’ordonnance d’un tribunal. De même, la Loi sur la défense nationale autorise les Forces armées canadiennes à prêter main-forte (périodiquement) à des services de police civile pour faire appliquer la loi.
Il est temps que Justin Trudeau se ressaisisse et agisse pour mettre un terme à cette situation.
Dans l’intérêt de tous les Canadiens.[:]