Liberals Take Jobless Numbers to 5-Year High
We all know and understand the importance of ensuring Canadians have access to good jobs. It’s that regular paycheque from work that helps us put food on the table for our families, helps cover the cost of educating our children, and maybe even gives us the chance to take a vacation with loved ones every once in a while. Canadians rely on good jobs to provide for the basics, and governments need to create an environment that ensures good jobs are available for those who are looking.
Unfortunately, the Liberal Government doesn’t have a plan when it comes to job creation and it’s starting to show in the economy’s performance. Statistics Canada recently released figures for the month of July and they aren’t encouraging. In only one month, a total of 31,200 jobs were lost across Canada and the unemployment rate rose to 6.9%. Statistics Canada also said the number of full-time workers dropped by 71,400. That figure represents the largest 1-month drop in full-time employment in the last 5 years.
This isn’t simply business as usual as far as economies go. This is a result of Liberal policies which are hurting employers and employees alike. The Liberals have been raising taxes on job-creating businesses, making it harder for out-of-work Canadians to find employment. Some businesses are already in a place where they are being forced to make tough decisions about maintaining existing jobs.
In recent weeks in this column, I’ve shared my concerns with a number of the Liberal policies that have contributed to the poor job numbers we are seeing now. For one, I have spoken out against the Liberals’ cancellation of the scheduled lowering of the small business tax rate. This action was taken despite their commitment to reduce this rate during the election campaign. As if that wasn’t bad enough, the Liberals eliminated the hiring credit for small businesses as well. I’ve also expressed concerns with the planned CPP tax hike. The Liberals told Canadians they had a plan to leave more money in the pockets of Canadians, but this plan does the exact opposite. Workers will be forced to pay higher mandatory CPP contributions leaving less money available for family priorities. Businesses will also be forced to pay more, limiting their ability to employ Canadians or give workers raises.
Our previous Conservative Government had the best job creation and economic growth record among G7 countries and we reduced taxes to their lowest point in 50 years. That’s a far cry from what we see happening today under Prime Minister Trudeau. The Liberal Government is not only failing to create a job-friendly environment; it’s actively implementing policies that hinder job creation. At a time when more and more Canadians are struggling to find work, it is clear the Liberals need to change their approach.Nous savons tous qu’il est important d’assurer aux Canadiens un accès à de bons emplois. C’est grâce à un chèque de paye régulier que l’on parvient à nourrir notre famille, à payer les frais liés à l’éducation de nos enfants, et peut-être même à s’offrir des vacances avec nos proches, à l’occasion. Les Canadiens ont besoin de bons emplois pour répondre à ces besoins de base, et les gouvernements doivent créer un contexte qui garantit la disponibilité de tels emplois à ceux qui les recherchent.
Malheureusement, le gouvernement libéral n’a pas de plan de création d’emploi, et cela commence à transparaître dans le rendement économique. Statistique Canada vient de publier des données pour le mois de juillet, et elles ne sont pas encourageantes. En seulement un mois, quelque 31 200 emplois ont été perdus dans l’ensemble du Canada, et le taux de chômage a atteint 6,9 %. Statistique Canada a également dévoilé que le nombre de travailleurs à temps plein a diminué de 71 400. Il s’agit de la baisse en un mois la plus dramatique jamais réalisée au cours des cinq dernières années, dans le domaine du travail à temps plein.
En termes d’économie, ce n’est pas normal. C’est le résultat des politiques libérales qui font mal aux employeurs et aux employés. Les libéraux ont haussé les impôts des entreprises créatrices d’emploi, ce qui a compliqué la tâche des chômeurs canadiens à la recherche d’emploi. Certaines entreprises se voient déjà forcées de prendre des décisions difficiles pour maintenir en place les emplois actuels.
Au cours des dernières semaines, dans mes chroniques, je vous ai fait part de mes préoccupations vis-à-vis de plusieurs politiques libérales qui ont contribué aux pauvres résultats que nous constatons aujourd’hui dans le domaine de l’emploi. J’ai notamment parlé contre l’annulation par les libéraux de la réduction prévue du taux d’imposition des petites entreprises. Malgré qu’ils s’étaient engagés à réduire ce taux pendant la campagne électorale, les libéraux ont pris cette mesure. Et comme si cela n’était pas assez, ils ont aussi éliminé le crédit pour l’embauche visant les petites entreprises. Je me suis également prononcé contre la hausse d’impôt prévue au titre du RPC. Les libéraux ont dit aux contribuables qu’ils avaient un plan qui permettrait de laisser plus d’argent dans les poches des Canadiens. Mais c’est exactement l’inverse qui se produit. Les travailleurs devront verser des cotisations obligatoires au RPC plus élevées, ce qui leur laissera moins d’argent pour répondre à leurs priorités familiales. Les entreprises devront également payer plus, ce qui limitera leur capacité à embaucher des Canadiens ou à augmenter le salaire de leurs employés.
En plus de réduire les impôts à un point jamais atteint en 50 ans, notre ancien gouvernement conservateur a eu le meilleur rendement en matière de création d’emplois et de croissance économique de tous les pays du G7. C’est bien loin de ce que l’on peut constater aujourd’hui, avec le premier ministre Trudeau. Non seulement le gouvernement libéral ne parvient pas à créer un contexte favorable à l’emploi, mais il s’active à mettre en œuvre des politiques qui nuisent à la création d’emploi. En des temps où de plus en plus de Canadiens peinent à se trouver du travail, il est clair que les libéraux doivent modifier leur approche.