MP Falk Seconds Bill to Protect Freedom of Conscience
[:en]Steinbach, MB – Ted Falk, Member of Parliament for Provencher, has seconded Bill C-268, The Protection of Freedom of Conscience Act, in the House of Commons.
Introduced by Conservative MP Kelly Block, The Protection of Freedom of Conscience Act responds to calls from physicians and patients to ensure conscience rights for medical professionals are protected.
“Freedom of conscience is a fundamental right for all Canadians,” said Falk. “With the legalization of medical assistance in dying in Canada, we’ve seen that right eroded for health care providers.”
The Protection of Freedom of Conscience Act will protect the conscience rights of medical professionals who have chosen to not take part, directly or indirectly, in medical assistance in dying (MAID) or euthanasia by making it a punishable offense to use violence, threats, coercion, or intimidation in order to force a medical professional to take part in or refer a patient for MAID or assisted suicide. It also would prohibit the firing or refusal to hire medical professionals if the sole reason is their refusal to take part in MAID.
“If every physician is required to promote MAID, patients will lose the freedom to seek a second opinion,” said Falk. “The Protection of Freedom of Conscience Act protects the doctor-patient relationship by ensuring medical professionals can recommend and provide care that they believe is best for their patients.”
[:fr]Steinbach (Manitoba) — Ted Falk, le député de Provencher, a appuyé le projet de loi C-268, Loi sur la protection de la liberté de conscience, à la Chambre des communes.
La députée conservatrice Kelly Block a déposé ce projet de loi en réaction aux appels lancés par des médecins et des patients pour protéger le droit à la liberté de conscience des professionnels de la santé.
« La liberté de conscience est un droit fondamental pour tous les Canadiens, a déclaré le député Falk. Depuis la légalisation de l’aide médicale à mourir au Canada, on constate une érosion de ce droit dans le milieu des soins de santé. »
Le projet de loi vise à faire respecter le droit à la liberté de conscience des professionnels de la santé qui refusent de prendre part, directement ou indirectement, à la prestation de l’aide médicale à mourir (AMM) ou de l’euthanasie. Plus précisément, il érige en infraction punissable l’usage de la violence, de menaces de violence, de la contrainte ou de l’intimidation pour forcer un professionnel de la santé à prendre part à la prestation de l’AMM ou de l’euthanasie ou à diriger les patients vers d’autres professionnels qui acceptent de le faire. Il interdit aussi à quiconque de renvoyer un professionnel de la santé ou de refuser de l’employer pour la seule raison qu’il refuse de prendre part à la prestation de l’AMM.
« Si chaque médecin est tenu de proposer l’AMM, les patients n’auront plus la liberté de demander un deuxième avis, a affirmé le député Falk. Le projet de loi C-268 protège la relation médecin-patient en permettant aux professionnels de la santé de fournir et de recommander les soins qu’ils jugent au mieux des intérêts de leurs patients. »[:]