Steinbach: The Cleanest City in North America
[:en]I am pleased and proud to congratulate the city of Steinbach on retaining its title as the “cleanest city in North America.”
According to the Canadian Beverage Container Recycling Association: “Steinbach… has cut its beverage container litter by another 50%. The numbers were already remarkably low and Steinbach has done even better in 2019. It’s quite an amazing story.”
The CBCRA notes that Steinbach—already a very clean city when they began their audits in 2013—has further reduced its litter by 85% in the past six years.
Much of the credit for this accolade belongs to the churches of Steinbach, that arrange, facilitate and execute the annual “Pick Up and Walk” campaign each spring.
This past May, some 2,000 volunteers picked up approximately 10 tonnes of garbage!
Aside from the obvious aesthetic impact, litter degrades the soil, poses hazards to animal and plant life and spoils water quality. Something as simple as cleaning up litter can have a huge impact on our environment.
The environment is certainly a top issue these days. We hear of climate protests, disaster scenarios and multi-trillion dollar “Green New Deals” being proposed. While protests may impact our emotions, they do very little to improve our environment. Nothing gets results like individual Canadians, coming together, rolling up their sleeves and getting to work in a practical way in their communities.
Moreover, in the case of Pick Up and Walk, Steinbach residents saved their local government some $50,000 of taxpayer money, proving that green solutions, when done right, can also be fiscally conservative. That is a lesson I will take with me when I return to Ottawa.
Similar to separating our waste into recyclable and trash, part of our job as Parliamentarians is to separate which policies are useful and which ones should be thrown out. What policies will actually protect our environment vs. those that are enacted to promote a particular political agenda.
Canada’s Conservatives have a long track record of practical, common-sense policies when it comes to environmental protection, and we will continue to fight for environmental policies that make sense for Canadians.[:fr]C’est avec fierté et enthousiasme que je félicite la ville de Steinbach d’avoir conservé son titre de « ville la plus propre d’Amérique du Nord ».
Selon la Canadian Beverage Container Recycling Association/Association Canadienne de Recyclage des Contenants à Boisson, ou CBCRA : « Steinbach […] a réduit encore de 50 % son volume de contenants de boissons qui se retrouvent aux ordures. Les chiffres à cet égard étaient déjà remarquablement bas, et Steinbach a fait encore mieux en 2019. C’est tout un exploit [TRADUCTION] ».
La CBCRA note que Steinbach, qui était déjà une ville très propre lorsqu’elle a commencé ses audits des déchets en 2013, a en outre réduit ses déchets de 85 % au cours des six dernières années.
Le mérite de ce coup de chapeau revient en grande partie aux églises de Steinbach, qui organisent, facilitent et exécutent la corvée de nettoyage annuelle tenue chaque printemps.
En mai dernier, quelque 2 000 bénévoles ont ramassé environ 10 000 tonnes de déchets!
En plus de leur répercussion négative évidente sur le plan esthétique, les déchets dégradent le sol, présentent des dangers pour la vie de la faune et de la flore, et détériorent la qualité de l’eau. Quelque chose d’aussi simple que le ramassage des déchets par terre peut avoir une énorme incidence sur notre environnement.
Il va sans dire que l’environnement figure en tête de liste des préoccupations de nos jours. Nous entendons parler de manifestations pour le climat, de scénarios de catastrophes, et de « nouveaux pactes verts » de plusieurs billions de dollars qui sont proposés. Les manifestations, bien sûr, influencent nos émotions, mais elles ne font pas grand-chose pour améliorer l’environnement. Il n’y a rien de mieux pour produire des résultats que des Canadiens ordinaires qui s’unissent, se retroussent les manches et posent des gestes concrets dans leur municipalité.
Qui plus est, dans le cas de la corvée de nettoyage, les habitants de Steinbach ont permis à leur administration municipale d’économiser quelque 50 000 $ en fonds publics, ce qui prouve que les solutions écologiques, lorsqu’elles sont bien faites, peuvent aussi être conservatrices sur le plan financier. Voilà une leçon dont je compte me souvenir à mon retour à Ottawa.
Un peu comme lorsqu’on fait le tri de nos déchets entre le bac de recyclage et la poubelle, une partie de notre travail comme parlementaires consiste à faire le tri entre les politiques qui sont utiles et celles qui devraient être mises à la poubelle. Entre les politiques qui vont réellement protéger notre environnement et celles qui sont mises en œuvre pour promouvoir un programme politique en particulier.
Les conservateurs du Canada ont depuis longtemps à leur actif des politiques concrètes et sensées en matière de protection de l’environnement, et nous continuerons de lutter en faveur de politiques environnementales logiques pour les Canadiens.[:]