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Supreme Court Ruling Affects Vulnerable Women and Children

As the Member of Parliament for Provencher, I am concerned about the Supreme Court’s decision to unanimously strike down Canada’s prostitution laws.

The three sections of the criminal code that were struck down are:

• Prohibition against keeping, working in, or being found in a common bawdy house;
• Prohibition against living on the avails of prostitution (pimping); and
• Solicitation.

It is troubling that the Supreme Court found these sections of the Criminal Code to be unconstitutional. Our Government is reviewing the decision and is exploring all possible options to ensure the criminal law continues to address the significant harms of prostitution which affect our communities and endanger vulnerable women and children.

Protecting vulnerable people must be a top priority for any government. My most pressing concern about the Supreme Court’s decision is that it puts vulnerable women and children at risk. The average age of girls entering the sex trade is between 12 and 14 years old. This is a disturbing fact that must be considered in any debate or discussion on prostitution.

Fortunately a number of other Criminal Code provisions surrounding prostitution still remain. These include:

• Prohibition against procuring a person into prostitution;
• Prohibition against procuring a person to enter or leave Canada for the purpose of
prostitution;
• Prohibition against exercising control, direction or influence over the movements of a
person in order to aid, abet or compel that person to engage in prostitution;
• Prohibition against living on the avails of the prostitution of a minor;
• Stopping a motor vehicle in a public place for the purpose of prostitution; and,
• Prohibitions against human trafficking.

Although I am comforted that these provisions remain unaffected, as a father, an MP and a resident of Provencher, I worry that the Supreme Court’s decision may ultimately lead to further exploitation of vulnerable women and children.

I am very interested in hearing from you on important issues like this one. You may contact my office toll free at 1-866-333-1933 or at 204-326-9889. You may also write my office at 8-227 Main Street, Steinbach, MB R5G 1Y7, e-mail me at ted.falk.c1@parl.gc.ca or visit my website at www.tedfalk.ca.En tant que député de Provencher, je suis préoccupé par la décision de la Cour suprême d’abolir unanimement les lois canadiennes en matière de prostitution.

Les trois sections annulées du Code pénal sont les suivantes :

• L’interdiction de tenir une maison de débauche, d’y travailler ou de s’y trouver ;
• L’interdiction de vivre des produits de la prostitution (proxénétisme) ;
• La communication en vue de l’achat ou de la vente de services sexuels.

Il est préoccupant que la Cour suprême juge ces sections du Code pénal inconstitutionnelles.  Notre gouvernement examine la décision et explore toutes les solutions possibles afin d’assurer que le droit criminel continue à lutter contre les torts considérables de la prostitution dans nos communautés et le danger qu’elle entraîne pour les femmes et les enfants vulnérables.

La protection des personnes vulnérables doit demeurer une priorité importante pour tout gouvernement.  Ma préoccupation principale au sujet de la décision de la Cour suprême consiste du fait qu’elle met à risque des femmes et des enfants vulnérables.  L’âge moyen des filles qui intègrent le commerce du sexe varie entre 12 et 14 ans.  Ce fait perturbant doit être abordé à l’occasion de tous les débats ou discussions sur la prostitution.

Heureusement, un certain nombre de dispositions du Code pénal portant sur la prostitution demeurent en vigueur.  Par exemple :

• L’interdiction de faciliter la prostitution d’autrui ;
• L’interdiction d’aider une personne à entrer au Canada ou à en sortir à des fins de prostitution ;
• L’interdiction d’exercer du contrôle, de la direction ou de l’influence sur les mouvements d’une personne en vue d’aider, d’encourager ou de forcer cette personne à s’adonner à la prostitution ;
• L’interdiction de vivre des produits de la prostitution d’un mineur ;
• L’immobilisation d’un véhicule à moteur dans un lieu public à des fins de prostitution ;
• Les interdictions visant le trafic d’êtres humains.

Bien que je sois rassuré du fait que ces dispositions demeurent intouchées, je m’inquiète en tant que père, député et résidant de Provencher que la décision de la Cour suprême pourrait ultimement mener à l’exploitation future de femmes et d’enfants vulnérables.

Je suis très intéressé d’entendre vos avis concernant des questions comme celle-ci.  Vous pouvez appeler mon bureau sans frais au 1-866-333-1933 ou au 204-326-9889.  Vous pouvez m’écrire au
8 – 227, rue Main, Steinbach (Manitoba)  R5G 1Y7 ou m’envoyer une télécopie au 204-346-9874 ou un courriel au ted.falk.c1@parl.gc.ca.