The Liberals Want to Tax Your Home
[:en]In the midst of these difficult and uncertain economic times, the Liberals are quietly working to significantly raise your taxes.
In 2018, at their policy convention, Liberals proposed a 50 % capital gains tax on the sale of residential homes.
The initial idea of the proposal was to penalize people for “flipping” houses in hot markets by imposing a tax on the profits: 50% if a house were sold after just one year of ownership, 25% after two years, 15% after three years, 10% after four years and 5% after five years.
Conservatives warned Canadians about the cost of a secret Liberal home tax during last fall’s campaign. The Liberals denied it, but now we have proof they are indeed considering it.
Media are reporting that the Canadian Mortgage and Housing Corporation (CMHC)—a Crown corporation under the purview of the Minister of Families, Children and Social Development—is spending $250,000 to study a federal home equity tax that would see residences taxed as capital gains.
This is shameful, especially at a time when many Canadians are struggling to make ends meet.
This new tax would negatively affect people who move for a new job, people who buy a home because they need a place to live right away but are hoping to find a larger permanent residence, people who have a sudden change in family status because of marriage, divorce or children. There are many reasons for someone to buy a house and sell it in less than five years and they shouldn’t be punished for it.
Moreover, tax free equity in one’s personal residence is key to their financial security. A capital gains tax of any kind on primary residences would devastate the housing market, hurt the economy and ensure that many Canadians could not afford to retire.
While the Liberal government denies that this is what they’re doing, Justin Trudeau’s record speaks for itself.
We all remember when the Justin Trudeau called small business owners “tax cheats” who use their businesses as “tax shelters”. In this case, the research project’s organizers write that homeowners are “lottery winners”, and that their homes are “tax shelters”. Sound familiar?
These Liberals never met a tax they didn’t like and are willing to do anything to advance their reckless spending agenda.
They spent the cupboards bare before COVID-19 hit. Now, despite the ongoing economic uncertainty, it looks like they are planning to aggressively go after one of the few remaining sources of financial security Canadians have left.
Conservatives will keep fighting for Canadian taxpayers and holding the Trudeau government to account.[:fr]En cette période économique difficile et incertaine, les libéraux tentent discrètement d’augmenter vos impôts de manière substantielle.
En 2018, lors de leur congrès politique, les libéraux ont proposé un impôt de 50 % sur les gains en capital liés à la vente de propriétés résidentielles.
L’idée initiale derrière cette proposition était de pénaliser les personnes qui « retapent » des maisons pour les revendre sur les marchés actifs à l’aide d’un impôt sur les bénéfices : 50 % si une maison est vendue après un an de possession, 25 % après deux ans, 15 % après trois ans, 10 % après quatre ans et 5 % après cinq ans.
Les conservateurs ont averti les Canadiens qu’il y aurait un impôt domiciliaire secret, durant la campagne de l’automne dernier. Les libéraux l’ont nié, mais nous avons maintenant la preuve qu’ils l’envisagent.
Les médias rapportent que la Société canadienne d’hypothèque et de logement (SCHL), une société d’État qui est sous la responsabilité du ministre de la Famille, de l’Enfance et du Développement social, dépense 250 000 dollars pour étudier un impôt fédéral sur la valeur immobilière qui verrait les résidences imposées comme des gains en capital.
C’est honteux, surtout à un moment où de nombreux Canadiens ont déjà du mal à joindre les deux bouts.
Ce nouvel impôt aurait des répercussions négatives sur les personnes qui déménagent pour un nouvel emploi, les personnes qui achètent une maison parce qu’elles ont besoin d’un endroit où vivre immédiatement, mais espèrent trouver une résidence permanente plus grande, les personnes qui ont un changement soudain de statut familial en raison d’un mariage, d’un divorce ou de l’arrivée d’enfants. Il existe de nombreuses raisons pour qu’une personne achète une maison et la revende en moins de cinq ans, et elles ne devraient pas être pénalisées pour cela.
Qui plus est, la non-imposition des résidences personnelles est la clé de la sécurité financière. Un impôt sur les gains en capital de toute nature sur les résidences principales aurait un effet dévastateur sur le marché du logement, nuirait à l’économie et empêcherait de nombreux Canadiens de prendre leur retraite.
Le bilan de Justin Trudeau parle de lui-même, malgré toutes les tentatives du gouvernement libéral pour nier la chose.
Nous nous souvenons tous de la fois où Justin Trudeau a qualifié de « fraudeurs fiscaux » les propriétaires de petites entreprises qui utilisent leurs activités comme « abris fiscaux ». Dans le cas présent, les organisateurs du projet de recherche écrivent que les propriétaires sont des « gagnants à la loterie » et que leurs maisons sont des « abris fiscaux ». Cela vous semble familier ?
Ces libéraux n’ont jamais payé d’impôts qu’ils trouvaient injustes et sont prêts à faire ce qu’il faudra pour faire progresser leur programme de dépenses irresponsables.
Ils ont vidé les coffres avant que la COVID-19 ne frappe. Aujourd’hui, malgré l’incertitude économique actuelle, il semble qu’ils aient l’intention de s’attaquer à l’une des rares sources de sécurité financière qui reste aux Canadiens.
Les conservateurs vont continuer à se battre pour les contribuables canadiens et à demander des comptes au gouvernement Trudeau.[:]